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le nouveau ghinzu il passe plutôt bien, en fait.
C'est pas comme si la qualité ne suivait pas, fin j'ai jamais trouvé que dans son intégralité Ghinzu faisait vraiment des trucs parfaits à chaque fois, les temps forts compensant toujours les petits moments de faiblesse. Et puis, s'il ne se sentent pas capable de refaire quelque chose de long et de tenable, j'aime mieux un truc court et catchy. Et c'est pas non plus comme si ils sortaient un album tous les deux ans, Mirror Mirror s'est quand même salement fait attendre. Personnellement, j'attendais autre chose que Blow, j'ai été servi : après une écoute de A à Z un peu bordélique (je l'écouterais je pense rarement dans son intégralité, comme les deux précédents en fait) je l'ai trouvé vraiment bien, peut être pas assez abouti sur certains morceaux, mais dans l'ensemble j'suis plutôt content qu'il ne soit pas une redite de Blow. Grosses préférences pour The Dreamer Maker, Mirror Mirror, Cold Love, ou encore The End of The World et son pur refrain.
en fait ghinzu, c'est un peu Muse, mais en mieux...
exactement
Muse, GHinZu, finalement une histoire d'ego (my ego is bigger than you).Merci pour l'itw Annie (le John n'est-il pas un brin démago?)Sur les deux premiers albums, ça m'a beaucoup frustré, nous n'avons pas été à la hauteur sur la production. L'intensité du live n'était jamais traduite en studio. Le son restait naïf, maladroit – ça tuait même parfois l'esprit originel de la chanson.Il y a effectivement un contraste entre le disque et les lives de la période "BLOW", mais l'intensité je pense n'était pas exprimé de la même façon.Ceci dit je suis assez d'accord avec les vibrations....
