Pour se mettre en condition pour demain soir:
Comment faire du neuf avec du vieux, ou brillant hommage à de lourdes références.
Le spectre du velvet, du floyd (1ere époque) avec un arrière goût de stooges/pop est évident pour ce groupe.
Certains pourraient même reprocher à ce 2e album un côté "cliché/clone/late 60's" Jim Morisson-ien.
Certes, mais c'est en tout cas une sacrée expérience sonore qui se stigmatise en live.
Never/Ever ou
snake in the Grass (i love acid, give me some more) valent à eux seuls qu'on s'y attarde, qu'on s'y penche, mais attention, ne faites pas comme moi, vous risquez de tomber.
(demain au 4ad de Diksmuide -j'y serais-)