tu te rassures ou tu le penses... ? Bon sérieux, t'es free ! Et pas de pb s'il n'y a que nous qui en profitont ;-) Continue dans tous les cas !
Un peu des deux je crois bien. Mais j'enverrais un peu partout, si je peux en faire un hobby et percevoir une rémunération en plus de quelques CD promo généreusement envoyés par la poste, c'est bueno pour ma pomme.
Mais j'ai toujours eu beaucoup d'intérêt pour le juridique, ça n'a jamais changé par contre...
@Astyl : ouais,
Bowls est un sacré morceau, j'adore la manière dont il évolue ! Ceci dit, je peux comprendre que tu n'aimes pas l'objet dans sa plus stricte intégralité mais si tu découvres Caribou par cet album là tu aimeras peut-être plus le précédent,
Andorra, ne retenant que les passages les plus mélodiques de
Swim pour se focaliser sur une instrumentalisation mieux construite, dans des phases moins électroniques. Et en cette période estivale, ça colle plutôt bien en plus... !
Sinon, en complément des demandes de Raphy :
The Chemical Brothers -
Further.
...Et on aura du mal à ne pas s'émerveiller sur ce qui ressemble peut-être le plus au meilleur album des Chemical Brothers depuis
Surrender, le groupe s'en retourne a des vagues sonores plus shoegazées que d'ordinaire, plus aériennes, et toujours aussi psychédéliques. Écouter l'album en une fois ressemble à un gigantesque spectre de toutes les couleurs dans lesquels on est tabassés par un rythme jamais fixe, mais toujours plein de puissance :
Escape Velocity et ses douze minutes de montées en puissance presque kitsch font divinement bien monter la sauce juste après un très beau
Snow aussi minimaliste que buggé à la mélodie doucement susurrée par Stéphanie Dozen, le tant décrié premier single
Swoon trouve dans sa version album une résonance qu'il ne trouve vraiment pas dans sa version clippée et fout des frissons dans le dos durant près de cinq minutes de montées en puissance bien dosées, et
K+D+B,
Dissolve,
Another World et
Wonders Of The Deep achèvent de compléter l'album par des balades toujours sous le signe de la puissance et du shoegazing tandis que
Horse Power marque le retour du groupe aux bangers technos.
Alors difficile de trouver le nouveau Chemical Brothers
innovant en réalité : il n'est juste qu'un bestial retour aux sources fluide, coloré, aérien, et jouissif. Mais ça faisait tellement longtemps qu'on avait pas eu un album de cette trempe qu'on ne peut se féliciter d'un tel choix après des albums blindés de trop nombreux featurings. Vivement une tournée !
