La critique de Didier Super par un des mecs du site pop rock belge
"Il faut bien l’avouer, cette année, il y a eu probablement autant de bons albums que de merdes noires. Et je suis désolé, mais Didier Super, je peux vraiment pas. Mieux vaut s’en foutre qu’en rire. On tient ici un bijou de jacobinisme faussement railleur, une sorte d’Olivier Besancenot qui se prendrait pour Brassens avec l’ironie mordante d’un Desproges-wannabe. Non seulement c’est pauvre musicalement (il parait que c’est normal, que c’est du second degré et que je suis trop con pour comprendre), mais en plus les paroles se veulent ironisantes, gentiment satiriques, tout ça tout ça. Vous savez, le Canard Enchaîné version chanson française. Alors apparemment, c’est censé être drôle, parce que oui, c’est de la merde, oui, ça s’entend, mais c’est parce que c’est de la parodie, et puis les textes ils sont tout pourraves mais justement, c’est ça qui est hilarant, et puis au moins ça change. Mouais. Personnellement, foutre quinze euro là-dedans,
ça ne me fait pas beaucoup rire. Surtout quant on connaît tout l’esprit boulangiste franchouillard qui s’y cache dans les soubassements. Enfin bon, pour relativiser, vous me direz qu’en ce moment, c’est pas ça qui manque dans la nouvelle chanson française."
Stro bon!
ET là, l'introduction de la chronique d'Empire de Kasabian:
"Quel est le point commun entre Justin Timberlake, Pete Doherty et Julian Casablancas ? Si la susdite liste semble comporter un intrus de choc, les trois garçons ont pourtant tous subi les foudres de Tom Meighan, le leader de Kasabian..."
Euh...certes mais encore? Cette introduction n'a ni queue ni tête...