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ah merci !!C'est vrai que je suis cette histoire de près
CiterLes chats écrasés permettent-ils de rouler moins cher? BERLIN (Reuters) - Face à la flambée des prix à la pompe, un inventeur allemand propose un carburant alternatif bon marché fabriqué avec des chats morts.Ce gazole organique, mélange de déchets et de chats écrasés, entre autres, est une alternative sûre au gazole traditionnel, a affirmé au Bild son inventeur, Christian Koch.J'ai parcouru 170.000 kilomètres au volant de ma voiture avec ce mélange sans aucun problème, a assuré le scientifique originaire de Saxe.Le site internet d'Alphakat GmbH, la société de Koch, explique que sa machine produit ce qu'il appelle le bio-diesel pour environ 23 centimes d'euro le litre, soit un cinquième du prix d'un litre de gazole dans une station-service. Une vingtaine de chats morts ajoutés au mélange pourraient aider à produire assez de carburant pour remplir un réservoir de 50 litres.Mais le président de la Société protectrice des animaux, Wolfang Apel estime illégale l'utilisation à cette fin de chats morts. "Chats et chiens ne courent aucun danger parce que cette pratique est hors-la-loi en Allemagne", a-t-il assuré mercredi au journal. "Nous gardons un oeil sur cette histoire", a-t-il précisé. isi, j'aurai ma voiture à partir de samedi, et je trouve justement que l'essence est un peu chère...
Les chats écrasés permettent-ils de rouler moins cher? BERLIN (Reuters) - Face à la flambée des prix à la pompe, un inventeur allemand propose un carburant alternatif bon marché fabriqué avec des chats morts.Ce gazole organique, mélange de déchets et de chats écrasés, entre autres, est une alternative sûre au gazole traditionnel, a affirmé au Bild son inventeur, Christian Koch.J'ai parcouru 170.000 kilomètres au volant de ma voiture avec ce mélange sans aucun problème, a assuré le scientifique originaire de Saxe.Le site internet d'Alphakat GmbH, la société de Koch, explique que sa machine produit ce qu'il appelle le bio-diesel pour environ 23 centimes d'euro le litre, soit un cinquième du prix d'un litre de gazole dans une station-service. Une vingtaine de chats morts ajoutés au mélange pourraient aider à produire assez de carburant pour remplir un réservoir de 50 litres.Mais le président de la Société protectrice des animaux, Wolfang Apel estime illégale l'utilisation à cette fin de chats morts. "Chats et chiens ne courent aucun danger parce que cette pratique est hors-la-loi en Allemagne", a-t-il assuré mercredi au journal. "Nous gardons un oeil sur cette histoire", a-t-il précisé.
De l'influence des séries télé sur les jurés américainslun. sept. 26, 2005 11:01 CEST6 par Martha GraybowWASHINGTON (Reuters) - Habitués aux méthodes scientifiques sophistiquées utilisées dans les séries judiciaires télévisées, les jurés américains ont du mal à se satisfaire des éléments ordinaires présentés par les procureurs.Cette tendance, médias et milieux judiciaires la désignent sous l'expression d'"effet CSI", du nom d'une série populaire diffusée par CBS.Alice Martin, procureur fédérale en Alabama, lui attribue partiellement son échec dans le procès perdu contre Richard Scrushy, fondateur de l'entreprise HealthSouth Corp poursuivi pour fraudes boursières et manipulations des documents comptables de son groupe spécialisé dans la santé.Son acquittement, en juin dernier, a été analysé comme un revers pour la justice fédérale dans sa lutte contre les malversations dans le monde de l'entreprise.Dans des entretiens accordés depuis leur verdict, rapportait récemment Alice Martin, des jurés ont expliqué qu'ils avaient "besoin d'empreintes digitales sur des documents ou d'entendre Scrushy prononcer le mot 'fraude' sur une cassette audio" enregistré à son insu par un ancien cadre dirigeant de l'entreprise."Ils ont dit qu'il y avait toujours des empreintes digitales à la télé", a ajouté la procureur lors d'un colloque sur la criminalité en col blanc organisé à l'université Georgetown de Washington.David Anders, procureur adjoint à Manhattan ayant participé aux poursuites contre l'ancien PDG de WorldCom, Bernard Ebbers, et l'ancien banquier Frank Quattrone, confirme."L"effet CSI' ne nous réjouit pas", dit-il en expliquant que dans ce genre d'affaires, les procureurs étayent généralement leurs accusations par des preuves arides (échanges volumineux de courriers électroniques, documents comptables complexes).Rares sont les procès de ce type qui ressemblent aux affaires scénarisées dans "CSI" ou d'autres séries du même genre, où les enquêteurs sont des experts suréquipés de la police scientifique capables de reconstituer des meurtres sur la seule base de traces de sang relevées sur les lieux du crime.Pour l'avocat new-yorkais Gerald Lefcourt, la justice doit garder à l'esprit que les jurés, particulièrement ceux âgés d'une vingtaine ou d'une trentaine d'années, sont largement influencés par ce qu'ils voient à la télévision."Ce sont des jeunes gens qui d'une manière générale ont grandi avec la télévision. Le temps des avocats plaidant sur un ton monotone est révolu. Les jurés d'aujourd'hui, principalement les jeunes, attendent de la vivacité et des éléments qu'ils puissent voir", dit-il.© Reuters 2005. Tous droits réservés.
Le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy a confirmé lundi sur RTL que la nouvelle opération menée à l'aube dans les milieux islamistes, notamment dans la région de Montargis (Loiret), est "la poursuite" de l'enquête sur le démantèlement de la cellule Bourrada."C'est la poursuite de la même enquête, c'est le même réseau", a dit M. Sarkozy. "Ce sont des enquêtes au long cours puisque, depuis des mois, voire des années, un certain nombre d'individus sont surveillés et au moment où les services spécialisées l'estiment nécessaire, les interpellations ont lieu", a ajouté le ministre.La police a entamé une nouvelle opération dans les milieux islamistes, procédant à plusieurs interpellations, notamment dans la région de Montargis (Loiret), selon des sources proches du dossier.Les policiers ont "deux cibles principales", des Français convertis à l'islam, âgés de 25 à 30 ans, a-t-on ajouté. Ils avaient été repérés il y a deux ans car ils entretenaient des liens avec Safé Bourrada, 35 ans, interpellé la semaine dernière à Evreux (Eure), ont précisé ces mêmes sources.Ces interpellations interviennent donc dans le cadre de l'enquête qui a conduit à la mise en examen la semaine dernière de quatre hommes, dont Bourrada, pour "associations de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste" et "financement du terrorisme".Ces quatre personnes avaient été interpellées le 26 septembre à Trappes (Yvelines) et Evreux. Elles ont été écrouées. Leur chef présumé est Bourrada, qui avait été condamné pour son soutien logistique aux attentats de 1995.Ces hommes ont notamment été interrogés sur de supposés projets d'attentats à Paris, contre le siège de la direction de surveillance du territoire (DST), le métro et l'aéroport d'Orly. Lors de leur garde à vue, ils n'ont pas confirmé avoir eu de tels projets. Interrogé sur l'immimence de ces projets d'attentats, M. Sarkozy a assuré que les personnes écrouées n'étaient "pas sur le point" de les commettre mais "qu'ils avaient des mauvaises intentions".
HYDERABAD, Inde (Reuters) - Un professeur d'anglais du sud de l'Inde aimait tant sa mère qu'à la mort de la vieille dame en 1985, il avait refusé de l'enterrer et a gardé le cadavre chez lui.Jusqu'à sa propre disparition samedi, date à laquelle mère et fils ont été inhumés dans une même sépulture non loin de la mosquée du village, conformément à ses dernières volontés.Syed Abdul Gafoor, qui vivait en reclus à Siddavatta, dans l'Etat de l'Andhra Pradesh, avait conservé le corps de sa mère de manière intacte en l'embaumant et en le plaçant dans un sarcophage de verre.Son épouse, qui n'avait pas supporté la vue chez elle de sa belle-mère morte, avait fini par le quitter.© Reuters 2005. Tous droits réservés.
Les Sarkozy inspirent un prof de droit suisse... De l'art de s'inspirer des déboires médiatico-politico-amoureux d'un ministre français... pour motiver des étudiants suisses ! Le Matin évoque cette anedocte : dans l'énoncé d'un examen d'introduction à l'étude du droit, un professeur de l'Université de Genève évoque "Nicolas et Cécilia qui ont de sérieuses difficultés conjugales". "Ils vivent séparés, mais ne souhaitent pas divorcer pour l'instant. Ils doivent néanmoins régler différents points relatifs à leur séparation de fait. Pour ce faire, ils hésitent entre consulter un médiateur et porter leur affaire devant un juge. Veuillez leur exposer les avantages et les inconvénients respectifs de ces deux modes de règlement des litiges..." Toute ressemblance avec un certain Nicolas Sarkozy n'est pas que pure coïncidence : "Il est important d'avoir un ancrage dans l'actualité et la pratique, justifie le professeur dans le quotidien helvète. Par ailleurs, un peu d'humour permet de détendre certains étudiants, parfois nerveux avant un test."
Un Australien dangereusement électriquevendredi 16 septembre 2005 (Reuters - 12:09)SYDNEY - Un Australien qui générait une charge d'électricité statique de 40.000 volts a forcé les pompiers à évacuer un bâtiment entier.Frank Clewer portait un pull-over en laine et une veste en nylon sans avoir conscience du courant électrique induit par le frottement de ses vêtements.Quand il est entré dans un immeuble de Warrnambool, dans l'Etat de Victoria, la moquette a pris feu."J'ai entendu comme un bruit de pétard" a raconté l'homme à la radio australienne vendredi."Cinq minutes après, la moquette a commencé à brûler."Sans vraiment savoir d'où provenait une drôle d'odeur de brûlé, les employés ont appelé les pompiers qui ont évacué le bâtiment.Il y avait plusieurs traces de moquette écorchée et on pouvait entendre des claquements, comme un fouet", a déclaré un responsable des pompiers Henry Barton.Les soldats du feu ont coupé l'électricité, pensant qu'une surcharge électrique était à l'origine de l'incident.Clewer, qui avait quitté l'immeuble, s'est rendu compte qu'il avait endommagé une pièce de plastique sous ses pieds dans sa voiture. Il est revenu demandé de l'aide aux pompiers qui ont testé ses vêtements."Nous avons mesuré un courant de 40.000 volts, ce qui est a deux doigts de la combustion spontanée (...) ces vêtements auraient pu s'enflammer d'eux-mêmes", a précisé Barton.Les pompiers ont emmené la veste et l'ont remisée dans la cour de leur caserne où elle a continué à générer un fort courant électrique.
ça vaut notre prof de civil qui se servait d'un gars une fille.