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Nabis · 1801 · 618877

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Citation de: "Luména"
Citation de: "Le Figaro"
Les millionnaires inattendus des banlieues

Quand les enfants terribles des cités quittent la rubrique des faits divers pour les pages économiques, ils affichent de belles réussites professionnelles.

Jean-François Arnaud
[30 novembre 2005]

On les traitait de «racailles», maintenant on leur dit monsieur. Ils ont tous la particularité de venir de banlieue et de miser sur les points forts des cités : le rap, le hip-hop, l'esprit rebelle, la tchatche et une farouche volonté de s'extirper de la galère. Ils sont issus de l'immigration et de familles modestes. Et ils sont tous devenus riches et célèbres : l'acteur le mieux payé du cinéma français, des rappeurs millionnaires créateurs de marques haut de gamme, l'inventeur prospère de l'anti-Coca-Cola et le créateur en vogue d'une griffe de prêt-à-porter.

Très vite rejoints par des investisseurs et experts de la finance ces mauvais garçons ont su se métamorphoser en entrepreneurs efficaces, sans renoncer à leur culture de rebelles.

Le phénomène est loin d'être tari. Selon Bruno Boton, expert en marketing du cabinet Research International, «l'esprit banlieue qui était propre à une tribu très précise est en train de souffler sur l'ensemble de la société». Du coup, ceux qui ont une légitimité pour exploiter cet univers ont une autoroute pavée d'or devant eux. Les enfants terribles des cités vont quitter la rubrique faits divers pour les pages économie.


ben ouais... c'est le principe de l'égalité des chances, non ?

Rassurez-vous ! les fils-à-papa auront toujours plus de chance de trouver un emploi sur CV  :aie:


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Citation de: "le Monde"
Le directeur de Sciences-Po Paris veut créer un lycée d'élite pour les élèves des banlieues
   
C'est une initiative sans précédent dans le milieu de l'éducation nationale. Le directeur de Sciences-Po Paris, Richard Descoings, propose en effet la création d'un lycée expérimental d'élite dans la banlieue parisienne pour lutter contre l'échec scolaire, annonce-t-il dans un entretien, jeudi 1er décembre, au quotidien Aujourd'hui/Le Parisien.

L'objectif de Richard Descoings et de son allié sur ce projet, le président de l'université Pierre-et-Marie-Curie, Gilbert Béréziat, est d'ouvrir les portes de ce lycée au plus tôt, et d'y accueillir 900 élèves issus des quartiers en difficulté en trois ans."Dès septembre 2006, nous pourrions accueillir une première vague de 250 à 300 élèves, uniquement des classes de seconde, puis en 2007, de première et enfin de terminale", indique le directeur de Sciences-Po Paris. Et M. Descoings de préciser :"Nous ne voulons pas créer un lycée modèle, mot trop arrogant, mais une expérience duplicable en respectant ce qui existe actuellement". Une initiative sur laquelle il travaille depuis plusieurs mois, mais que les événements des dernières semaines ont accélérée.

"UNION NATIONALE POUR LES BANLIEUES"

Partisan d'une "union nationale pour les banlieues", Richard Descoings révèle dans cet entretien que si le premier ministre a été informé de ce projet, il vient d'écrire au président de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon (PS) "pour savoir si (cette) démarche l'intéresse", puisqu'il "finance la construction des lycées" dans sa région. Le lieu d'implantation de ce lycée n'a pas été précisé.

D'ici à quinze jours, Richard Descoings prévoit une rencontre avec les professionnels du milieu : chefs d'établissement et professeurs. Ces derniers seront d'ailleurs recrutés sur la base du volontariat et leurs heures supplémentaires seront rémunérées. "L'Etat les rémunérerait mais les collectivités locales, des entreprises pourraient aussi financer des équipements, des projets", affirme Richard Descoings au quotidien Aujourd'hui/Le Parisien.

Richard Descoings a par ailleurs signé mardi la première convention d'éducation prioritaire (CEP) depuis les violences urbaines, avec le lycée Doisneau des Tarterêts, à Corbeil-Essonnes. C'est le 34e établissement situé en zone d'éducation prioritaire (ZEP) à signer un partenariat avec Sciences-Po.

De plus, ce directeur dynamique n'en est pas à son premier essai puisque c'est à lui que l'on doit la création il y a cinq ans de la filière d'accès pour les élèves de ZEP à Sciences-Po. Un projet qui depuis a prouvé sa pertinence face au succès qu'il rencontre.

Avec AFP


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http://www.newscientist.com/channel/mech-tech/dn8248

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Invention: Coffee beer

    * 17:10 01 November 2005
    * NewScientist.com news service
    * Barry Fox

Coffee-beer

A drink somewhere between coffee and beer could soon be on the menu. Nestec, part of the Nestlé empire in Switzerland, has filed patents in every major market round the world on a "fermented coffee beverage" that pours and foams like beer, but smells of strong coffee and packs a concentrated caffeine kick.

The beverage is made in a similar way to beer, but fine-tuned temperature control stops the formation of ethyl alcohol. So the new drink could go down well with people who want a long tall pick-me-up while driving.

Nestlé admits it was tricky to preserve the characteristic coffee smell in the production process. Coffee beans are roasted normally, and the chemicals containing the natural aroma collected in a cryogenic condenser, before being converted into coffee oil. The remains of the roast are then ground to powder, mixed with yeast and sucrose, and fermented for 4 hours at just below 22°C. At this temperature the yeast can still metabolise but does not generate alcohol.

The aroma oil is then mixed in with the liquid and nitrogen is injected to make it foam. Adding a touch of extra sugar also helps trap the aroma until the drink is poured, Nestlé claim.


ça doit être bien dégueu ...


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Get rid of the “t”
The letter “t” is not welcome in Malaysia. The Islamic Religious teachers of a school in Petaling Jaya, near Kuala Lumpur, have forbidden their students to use it. As the “t” represents a crucifix, the horizontal stroke “-“ should not be used in the homework. At worst, the New Strait Times said that the “t” could be written with only a vertical line or a slash line.
Courrier International - 10 nov. 2005
:hum: s1upidi1e......
Bloom, the world is bloom


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Ils auraient pu se la jouer plus créatif et faire comme Perec en utilisant que des mots sans "t" tout simplement ...


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Citation de: "Luména"
Ils auraient pu se la jouer plus créatif et faire comme Perec en utilisant que des mots sans "t" tout simplement ...


Au bout d'un moment, ils n'auront plus de TourisTes dans leurs hôTels et leurs resTauranTs


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Tu as raison. Mais tu oublies les prosTiTuées et les filleTTes !


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Citation de: "The Eurasian"
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Get rid of the “t”
The letter “t” is not welcome in Malaysia. The Islamic Religious teachers of a school in Petaling Jaya, near Kuala Lumpur, have forbidden their students to use it. As the “t” represents a crucifix, the horizontal stroke “-“ should not be used in the homework. At worst, the New Strait Times said that the “t” could be written with only a vertical line or a slash line.
Courrier International - 10 nov. 2005
:hum: s1upidi1e......

ils font dans le hoax le courier international maintenant ?
sinon :  :glob:


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Une adolescente arrêtée après avoir pris du fromage pour de la cocaïne

MEMPHIS, Tennessee (AP) - Une jeune Américaine a tenté d'engager un tueur à gages pour voler et abattre quatre hommes qui, croyait-elle, dissimulaient un paquet de cocaïne à leur domicile. Mais la drogue était en réalité du fromage et l'homme de main... un policier.

Jessica Sandy Booth, 18 ans, avait vu la semaine dernière au domicile des quatre hommes un morceau de fromage qu'elle a pris pour de la drogue, a expliqué la police. Elle a alors eu l'idée criminelle d'engager quelqu'un pour s'introduire dans la maison, voler la supposée cocaïne et tuer les occupants.

La jeune fille a été arrêtée ce week-end et placée en détention. Elle est accusée de tentative de meurtre et d'incitation au meurtre, a-t-on appris mardi. Un informateur au courant du complot avait prévenu la police, qui a organisé une rencontre entre l'adolescente et un policier en civil se faisant passer pour un tueur à gages.

"Quatre hommes risquaient de perdre leur vie à cause de fromage", a conclu le lieutenant de police Jeff Clark.


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Jusqu'où iront-ils dans la taxation ? :hum:

Citation de: "www.kairn.com"
Montagne : Les randos en raquettes bientôt taxées
 
L'Assemblée nationale a entériné lundi l'instauration d'une redevance sur la pratique des sports "non motorisés" autres que le ski alpin, en montagne, dont la randonnée en raquettes.

Cette taxe, mise en place "pour l'entretien des sites accueillant des activités sportives non motorisées", selon le texte voté, avait été introduite par les sénateurs dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de loi sur le tourisme, soumis lundi aux députés. La mesure votée par les parlementaires vise à légaliser un usage déjà répandu dans certaines stations de ski qui ont rendu payant l'exercice de la randonnée en raquette.

Une taxe sous conditions
Elle vise "à élargir l'assiette de la redevance, sachant que plus d'une vingtaine de stations de moyenne montagne, dans les Préalpes, les Alpes du Sud et dans le Massif central, l'auraient déjà élargie pour l'usage de la raquette, sans fondement juridique très assuré", indique le texte voté.

La perception d'une taxe devra cependant répondre à certaines conditions : le site concerné doit ainsi "comporter des aménagements spécifiques tels que le balisage ou des équipements d'accueil" et faire l'objet "d'une maintenance régulière, notamment d'un damage plus ou moins partiel".

Source : www.metrofrance.com

Ndr : Dans les Pyrénées, plusieurs stations ont institué cette taxe : Beille (Ariège), Nistos-Cap Nesté, Val d'Azun et Payolle (Hautes-Pyrénées). Pour Cauterets, le système est plus sournois. C'est le parking qui est payant mais il est remboursé si vous justifiez d'un forfait journalier. A noter que le passage dans ces stations est obligatoire pour se rendre hors piste en terrain d'aventure non balisé et non sécurisé ou en haute montagne


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Citation de: "Luména"
Jusqu'où iront-ils dans la taxation ? :hum:

Citation de: "www.kairn.com"
Montagne : Les randos en raquettes bientôt taxées
 
L'Assemblée nationale a entériné lundi l'instauration d'une redevance sur la pratique des sports "non motorisés" autres que le ski alpin, en montagne, dont la randonnée en raquettes.

Cette taxe, mise en place "pour l'entretien des sites accueillant des activités sportives non motorisées", selon le texte voté, avait été introduite par les sénateurs dans le cadre de l'examen en première lecture du projet de loi sur le tourisme, soumis lundi aux députés. La mesure votée par les parlementaires vise à légaliser un usage déjà répandu dans certaines stations de ski qui ont rendu payant l'exercice de la randonnée en raquette.

Une taxe sous conditions
Elle vise "à élargir l'assiette de la redevance, sachant que plus d'une vingtaine de stations de moyenne montagne, dans les Préalpes, les Alpes du Sud et dans le Massif central, l'auraient déjà élargie pour l'usage de la raquette, sans fondement juridique très assuré", indique le texte voté.

La perception d'une taxe devra cependant répondre à certaines conditions : le site concerné doit ainsi "comporter des aménagements spécifiques tels que le balisage ou des équipements d'accueil" et faire l'objet "d'une maintenance régulière, notamment d'un damage plus ou moins partiel".

Source : www.metrofrance.com

Ndr : Dans les Pyrénées, plusieurs stations ont institué cette taxe : Beille (Ariège), Nistos-Cap Nesté, Val d'Azun et Payolle (Hautes-Pyrénées). Pour Cauterets, le système est plus sournois. C'est le parking qui est payant mais il est remboursé si vous justifiez d'un forfait journalier. A noter que le passage dans ces stations est obligatoire pour se rendre hors piste en terrain d'aventure non balisé et non sécurisé ou en haute montagne
ils vont bientôt créer une taxe sur les chaussures de rando ...


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Les idées du Front national s'imposent dans l'opinion
LE MONDE | 14.12.05 | 13h47  •  Mis à jour le 14.12.05 | 15h01

es idées de l'extrême droite incarnées par Jean-Marie Le Pen continuent de se banaliser. Un sondage de l'institut TNS-Sofres sur "l'image du Front national (FN) dans l'opinion", réalisé pour Le Monde et RTL après la crise des banlieues, montre que de moins en moins de Français rejettent "les positions de Jean-Marie Le Pen sur les grands problèmes".

Ils ne sont plus que 39 % à les trouver "inacceptables" en 2005, soit 5 points de moins qu'en 2004 et 9 de moins qu'en 1997. Ils préfèrent à 43 % les qualifier d'"excessives", alors qu'ils étaient 37 % à le faire l'an passé. La hausse s'élève à 6 points en un an.

De même, on observe, depuis 2002, une baisse régulière du nombre de Français qui pensent que le FN et son président "représentent un danger pour la démocratie en France" : 66 % en 2005, contre 70 % il y a trois ans.

Parallèlement à cette banalisation, le sondage montre un réel enracinement des thèmes du Front national. Près d'une personne sur quatre (24 %) se dit en effet "tout à fait d'accord" ou "assez d'accord" avec "les idées défendues par Jean-Marie Le Pen".

Un chiffre identique à celui de 2004, mais en progression de 2 points par rapport à 2003. Ce qui laisse une marge d'action au président du FN, qui a recueilli 16,9 % des suffrages au premier tour de l'élection présidentielle de 2002 et 17,79 % au second.

Quand on les interroge sur les thèmes développés par Jean-Marie Le Pen, les sondés hiérarchisent toujours de la même façon leurs préférences. "La défense des valeurs traditionnelles" arrive ainsi toujours en première position (33 % d'avis favorables), "la sécurité et la justice" en deuxième (26 %).

Cependant, on note, par rapport à 2003, une diminution d'un et de deux points dans l'adhésion à ces deux sujets, tandis que d'autres ("immigrés", "critiques contre la classe politique" et "impôts") progressent d'un point.

Les avis positifs concernant la position du FN sur "la construction de l'Europe" font un bond significatif en passant de 13 % à 19 % en deux ans.

Deux thèmes ont été introduits dans le sondage mené cette année : "la situation dans les banlieues" et "les critiques contre le gouvernement et la majorité". Ainsi, 25 % des Français approuvent le discours du FN sur le premier, 14 % sur le second.

Le thème de la préférence nationale semble un peu moins faire recette. Si 22 % des personnes interrogées considèrent toujours que l'on "doit donner la priorité à un Français sur un immigré en situation régulière" pour les prestations sociales et 19 % en matière d'emploi, on relève une diminution de 4 et 6 points par rapport à 2003.

Dès que l'on ne mentionne plus le nom de M. Le Pen ou celui du Front national, certaines réticences tombent. Les Français se montrent beaucoup plus nombreux à approuver des affirmations qui relèvent du fonds de commerce de l'extrême droite. Ils sont ainsi 63 % à dire qu'"il y a trop d'immigrés en France" (+ 4 points par rapport à 2003), 48 % pensent qu'"on ne se sent plus vraiment chez soi en France" (+ 4 points) et 45 % que "l'Europe est une menace pour l'identité de la France" (+ 10 points).

Christiane Chombeau


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Citation de: "Luména"
oui. voilà, je voulais le mettre.

Monde de merde  :glob:
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hihi

En attendant, pour celui là, c'est rigolo, j'ai tout de suite pensé à Jean- Paul Martoni de la Cité de la Peur. C'est vraiment son profil ... :aie:

Citation de: "Le Figaro"
(Avec AFP.)
[14 décembre 2005]
Prison ferme pour Marchiani dans deux affaires

Laissé en liberté, il a qualifié de «mots très durs» les attendus des jugements qui ont estimé notamment qu'il avait porté «gravement atteinte à l'autorité de l'Etat» et entretenu «sciemment en permanence la confusion entre l'intérêt général et son intérêt personnel».
L'ancien préfet du Var a annoncé mercredi qu'il allait faire appel des deux condamnations à trois ans et 18 mois de prison ferme prononcées contre lui pour des commissions occultes, précisant qu'il ne regrettait pas les faits qui lui étaient reprochés.

L'ancien préfet du Var, Jean-Charles Marchiani, s'est vu infliger mercredi une double condamnation à de la prison ferme pour avoir perçu des commissions occultes en lien avec l'attribution de marchés publics, mais il a été laissé en liberté.

Les deux peines de trois ans et 18 mois d'emprisonnement prononcées par la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris ne sont pas pour l'instant confondues. Mais une confusion pourrait être demandée et prononcée à l'issue de l'examen des différents recours dont dispose M. Marchiani.

Le préfet aujourd'hui hors cadre, âgé de 62 ans, a tout de suite annoncé qu'il ferait appel, une démarche qui suspend les deux décisions prononcées.