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ha merde ! il est pas mort cet enculé de sevran !
ouais donc vivement qu'il crève !
si il pouvait fermer sa gueule ça serait deja pas mal ...................
ouais mais désolé, je m'entête a dire que mort ça serait mieux ! parce que pour qu'il ferme sa gueule celui la ...
Dans le Privilège des jonquilles, son dernier livre, l'animateur de télévision Pascal Sevran écrit : "Le Niger. Safari-photo insoutenable. Des enfants on en ramasse à la pelle dans ce pays (est-ce un pays ou un cimetière ?) où le taux de fécondité des femmes est le plus élevé au monde. Neuf enfants en moyenne par couple. Un carnage. Les coupables sont facilement identifiables, ils signent leurs crimes en copulant à tout-va. La mort est au bout de leur bite. Ils peuvent continuer puisque ça les amuse..."http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3226,36-843744@51-843746,0.html
encore un soutien de qualité pour M. Sarkozy :ohwell:apres, Gyneco, Johnny, Stevie... la crème de la crème quoi
La faute à pas-de-chanceTrente joueurs belges ont cru avoir gagné 27 millions d'euros vendredi, mais horreur : le copain qui a validé n'a pas joué les numéros habituels. » La suite
La redevance sur la copie privée reportée sine dieJosé Manuel Barroso, président de la Commission européenne, a donc tranché : l'adoption de la réforme sur la rémunération de la copie privée - qui était prévue pour la semaine prochaine - est reportée sine die. Les redevances sur les disques et autres supports vierges ont donc encore de beaux jours devant elles, et vont encore profiter quelques temps aux artistes qui les perçoivent en grande partie. De son coté, l'industrie du logiciel et de l'électronique dénonce cet "abandon" déguisé de la réforme.Ces derniers sont en effet convaincus que ce report annoncé par la Commission est en fait équivalent à "un abandon pur et simple", avis également partagé par plusieurs sources diplomatiques. Le commissaire européen Charlie McCreevy, en charge du dossier sur la réforme, s'est donc fait lâcher par M. Barroso, qui a tranché en faveur du monde de la culture, après les démonstrations des artistes et la mobilisation des Etats membres. Le commissaire au Marché intérieur avançait notamment dans son argumentaire que ces redevances sont un obstacle au bon fonctionnement du marché commun. Il est évidemment soutenu dans son projet par les industriels, qui jugent la redevance aussi "injuste" qu'"obsolète". Ces derniers invoquent de nouvelles pistes, notamment celle des DRM (Digital Rights Management), une technologie qui vérifie les droits d'écoute ou de visionnage de chansons ou films récupérés sur internet (de façon gratuite ou payante), et qui détermine le nombre de copies ou de transferts possibles de chaque morceau ou film.De son coté, l'Alliance pour la réforme des redevances sur la copie privée (CLRA) s'est déclarée "frustrée et profondément déçue", car comme l'a déploré Mark MacGann, son porte-parole : "Cette réforme est morte désormais (..) et même si le projet est relancé, il ne sera jamais résolu". Pas véritablement favorable à cette réforme, l'Alliance s'était tout de même résignée à ne pas obtenir une véritable directive européenne plus contraignante. Ce camouflet ne va pas appaiser les esprits sur le sujet puisque le CLRA a d'ores et déjà prévenu que plusieurs grands groupes européens déposeraient "avant Noël" des plaintes formelles à la Commission contre certains Etats membres. Cette Alliance, qui regroupe notamment Adobe, Apple, Canon, Dell, HP, IBM, Intel, JVC ou encore Microsoft, fait porter la responsabilité à la France, qui, par le biais d'une lettre du premier ministre, Dominique de Villepin, demandait le 5 décembre à M. Barroso de différer son adoption, ceci afin de permettre "un réel débat" avec les autres Etats membres.Dans son courrier au président de la Commission européenne, le premier ministre français rappelait que la rémunération sur laquelle porte le débat "représente pour les créateurs une source de revenus non négligeable qu'il importe de préserver", arguant de"l'émotion forte" que le projet suscite auprès de la communauté artistique. La France n'était toutefois pas seule à émettre des réserves puisque une réunion de travail entre représentants permanents à Bruxelles avait conduit douze délégations en plus de la France à demander "une plus large consultation".La copie privée à usage familial est autorisée dans 20 des 25 états de l'Union Européenne, qui versent en contrepartie une rémunération à l'auteur, provenant notamment de cette redevance sur les supports vierges d'enregistrement (CD, DVD, lecteurs MP3, etc.), mais aussi sur certains appareils électroniques (scanners, imprimantes, etc.). L'un des champions de la redevance en Europe est l'Allemagne, dont les taux sont les plus élevées. C'est notamment à cause de ces différences, mais aussi de l'apparente inefficacité et l'absence de transparence des sociétés de gestion de droits d'auteurs que M. McCreevy avait entrepris cette réforme.Olivier Dumons (avec AFP)lemonde.fr