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Citation de: "HuntingWolf"En tt cas, j'ai encore une chance d'entendre "Dollars and Cents " au Pukkel vu qu'ils changent qq peu les sets Ne rêve pas, Dollars and cent ça sera pour RES
En tt cas, j'ai encore une chance d'entendre "Dollars and Cents " au Pukkel vu qu'ils changent qq peu les sets
http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&videoid=1055389718&n=2celle là? Je viens de la trouver en lien sur Radiohead.FrEDIT: elle est sublime cette vidéo en tout cas
Radiohead sur la bonne fréquence Critique. Luc DebraineJeudi 17 août 2006 Déception et putréfaction! Des fans hardcore de Radiohead faisaient part hier - sur Internet - de leur déception à l'issue du concert que le groupe d'Oxford a donné mardi soir au festival Rock Oz'Arènes, à Avenches. Choix de morceaux en forme de «best of» consensuel, méforme des cinq musiciens, public apathique, problèmes techniques... Ces critiques douchaient l'enthousiasme aussi sûrement que la pluie qui s'est déclenchée juste après la fin du rappel, vers minuit, dans la cité broyarde. Au diable les appréciations des ultraspécialistes de la cause Radiohead. Aux oreilles et yeux de beaucoup, dans ces arènes pleines jusqu'à la garde, c'est bien le contraire qui s'est joué sur la scène. Et ce qui se joue dans ces instants-là demeure étonnant, voire unique dans l'univers rock de ce début de siècle. Voilà un groupe d'expérimentateurs soniques qui prend le risque de mêler les arpèges clairs et les syncopes crépusculaires, mais draine un public toujours plus large, et vend ses disques par tombereaux. Cette adhésion rare s'incarne à merveille dans un concert comme celui de mardi soir, complet depuis des mois. Certes, des larsens intempestifs ont vrillé une ou deux chansons, certes (bis), la setlist a retenu les morceaux les plus connus de Radiohead (sauf «Creep») au détriment des nouvelles compositions. Mais il fallait s'immerger dans la foule devant la scène pour prendre la mesure hypnotique du groupe, être enveloppé par les riffs de Rickenbacker ou les ondes Martenot, ou être transpercé par les vocalises sinusoïdales de Thom Yorke. Il fallait aussi s'éloigner de la même scène pour admirer cette image pulvérisée et solarisée qu'est Radiohead en concert. Des sortes de webcams filment en permanence le groupe britannique. Ces plans en plongée, contre-plongée ou latéraux sont projetés sur des bouts d'écran derrière les musiciens ou splités en quatre sur les grands écrans qui flanquent la structure. Une image monochrome (sépia, pourpre, bleu...) qui a la qualité monocorde de la musique, laquelle ne cesse de décrocher et se reprendre, de se fragmenter et de se rassembler, de se dilater avec volupté puis de se contracter d'un coup. Autant dire un univers musical et visuel en phase parfaite avec une époque inquiète, technologique, pixelisée, qui fait flèche de tout bois comme les membres du groupe tirent profit de tous leurs instruments et de toutes leurs influences, du punk à la dodécaphonie, de Syd Barrett à LCD Soundsystem. Cette sensibilité atmosphérique est sans doute l'une des clés du succès planétaire de Radiohead, dont les antennes captent 5 sur 5 les fréquences du moment. Mais la bonne surprise du concert a été en définitive sa tonicité. Geignard, triste, névrotique, complaisant, qu'avait-on entendu au préalable comme épithètes négatifs sur le groupe et son leader fragile. Rien de tout cela dans les arènes romaines, en ce soir d'août. Mais simplement un groupe de rock qui cisèle deux heures de décibels inspirés, y prend plaisir, et son public aussi.
And what a wonderful day off it was! Got up and had breakfast and went back to bed for a couple of hours. By the time it was lunchtime the pouring rain that had been happening all morning (another good reason for going back to bed!) ceased and the sun had managed to come out. It was time for my day off walk and some lunch. A good few hours and a few miles later I returned to my hotel, time for an early night. The show in Avenches was in a roman amphitheatre and was the smallest stage size we had on the whole of the tour this year. The bands playing area had to be cut down in order for the technical areas to be built. In fact it was so tight over on my side of stage that Jonny Greenwoods keyboard set up could only be put in position after we had done all our cabling. There was no sound check, as we took considerably longer than normal to set it all up. Every fight case had to be removed from the stage as it was emptied as there was hardly storage space, the only department given space was the backline boys so the could get all the delicate instruments away as soon as the show ended.There was a small hold up to the beginning of the show as desperate attempts were made to fix a very unwell sounding Martenot, this was declared unusable for this evenings performance, Jonny opted to play all the Martenot parts on his guitar! A bit of remixing was required by me to compensate for this change. The start of the show and the first 5 numbers went as smooth as they could do, then it all started to go downhill. Some high frequency feedback occurred on what seemed to be on Thoms mic, there was a hold up while we tried to sort it out, Thom meanwhile came over to see what was going on, at this time I realised that the feedback was on Jonnys guitar as he had asked for the level to be raised in his mix, the monitor behind him had to be positioned slightly differently due to the squashed stage and the horn was nearer the mic on Jonnys guitar amp than normal. Problem solved, until the next one and then the next one and then finally the show was over, thankfully!However the vibe was good in the dressing room after the show, I asked if we could have a sound check for the next show at the Pukklepop festival in Belgium. There was time scheduled for one, with the bands appearance as their option. I was glad to hear the news the following morning that they had decided to come in for an hour.