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Et c'est globalement ce que je ressens pour le reste de l'album. Par rapport à ce qu'on a pu être habitué d'entendre, c'est-à-dire des chansons torturées, In Rainbows (titre que je trouve approprié) transcrit le sentiment d'être en état de grâce. On ne cherche plus un chemin par des voies tortueuses, on est arrivé à un point où tout est "merveilleux", dans cet album je ne ressens quasiment que du positif, de la plénitude.Bien sûr ceci n'est pas une analyse objective, ça n'est que mon ressenti.
c'est le plus important l'émotionnel quand on parle de musique, non?Ben voui, mais si on veut pas me parler, c'est bien parce qu'on m'en veut de ne pas aduler In Rainbows, enfin, c'est ce que j'ai compris de ce que Cris m'a dit.Je ne fais qu'expliciter de manière plus précise ma pensée sur l'album. Si ça te saoule de me lire, tu peux aussi sauter mes pavés. Moi j'ai plein de choses à dire sur In Rainbows, et pas seulement "j'aime cette chanson" ou "j'aime moins celle-là".Hum, on peut pas parler de mixage ici donc? Sauf si c'est pour aduler le travail de Nigel hein... bande de vilains!
Oui, je ne suis même pas modo, mais en tant qu'utilisatrice du forum, cette guerilla me fatigue.Merci de votre compréhension.
Je ne fais qu'expliciter de manière plus précise ma pensée sur l'album. Si ça te saoule de me lire, tu peux aussi sauter mes pavés. Moi j'ai plein de choses à dire sur In Rainbows, et pas seulement "j'aime cette chanson" ou "j'aime moins celle-là".
Voilà voilà, moi j'y connais rien au mix tout ça ...Celà dit, je ne peux m'empêcher de comparer All I Need avec Where I End & You Begin, sur le plan de l'histoire racontée (lyrics+musique+autres/mix...), pas de la musique stricto sensu.Je dirais que WIE&YB c'est la phase "vertige" d'un amour passionnel, et AIN rend un état d'esprit extatique d'amour fusionnel.Et c'est globalement ce que je ressens pour le reste de l'album. Par rapport à ce qu'on a pu être habitué d'entendre, c'est-à-dire des chansons torturées, In Rainbows (titre que je trouve approprié) transcrit le sentiment d'être en état de grâce. On ne cherche plus un chemin par des voies tortueuses, on est arrivé à un point où tout est "merveilleux", dans cet album je ne ressens quasiment que du positif, de la plénitude.Au lieu de faire un bad trip, on est sous ecsta Bien sûr ceci n'est pas une analyse objective, ça n'est que mon ressenti.
Tu aurais Blue chill, une tribune pour étayer ton argumentaire.Que je trouve assez limité, soit dit en passant, car basé sur des considérations "techniques" dont la majorité de lecteurs ici n'ont rien à foutre, car ils écoutent ces chansons avec leur sensibilité que la musique de Radiohead sait aiguiser.Si j'ai bien compris ton avis sur l'album, le mix, l'arrangement ne cassent pas des briques et ils sont capables de mieux.
Personnellement, je pense l'inverse, car les chansons que j'ai découvertes live en 2006 m'ont laissé perplexe quant à ce que serait le nouvel album. Je ne parvenais pas à imaginer une cohérence, et je craignais un "HTTT2", c'est à dire un patchwork du "spectre musical de Radiohead".
Ceci dit, la dernière partie du morceau m'a évidemment conquise (comment ne pas succomber à la partie vocale de Thom sur "It’s all wrong, It’s all right")
t'inquiètes, j'ai abandonné l'idée de faire comprendre mon point de vue à bluechill.
imbeciloteque : tais-toi
on fait la paix? :)