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Putain celle-là c’est la meilleure.Bonne idée d’arrêter là dessus, ça donne une idée du niveau.Et on se demande pourquoi je perds mon calme après.
Oh oui cris reprends moi, sauve nous de notre ignorance.J’imagine que ça te permet de te sentir « engagé », je m’en voudrais de t’en empêcher.Et désolé d’avoir fait usage de mon droit de réponse, les ambulances n’ont effectivement pas besoin qu’on leur tire dessus, elles ont assez de boulot comme ça en ce moment.
On peut donc dire que nous avons atteint le pic ?C’est difficile à dire si l’on prend en compte la totalité du pays, car le variant Delta continue de circuler dans certaines régions. En revanche, en Ile-de-France, oui, nous avons désormais un solde négatif
Pour autant, il y a toujours des entrants en réanimation avec des formes graves de maladies, contaminés par le variant Delta. C'est pourquoi il faut encore être extrêmement prudent à l'échelle individuelle, notamment lorsque l'on est pas vacciné. Les patients qui viennent en réanimation pour des formes graves de la maladie ne sont pas vaccinés pour leur grande majorité
Peut-on commencer à relâcher les contraintes ?Je crois que c'est encore un peu tôt. L'épidémie progresse encore
Les chaînes de contamination vont s’estomper, à condition, évidemment, de maintenir ces mesures barrières jusqu'au bout. Car sinon, évidemment, on rétablit de nouvelles chaînes de contamination, notamment vers les personnes les plus fragiles, et ce serait vraiment dommage alors que les choses s'améliorent.
Que ça te plaise ou non, ils continueront d'être soignés comme n'importe quel citoyen, parce qu'en France, on est égaux et on a les mêmes droits, et non, les devoirs ne viennent pas avant les droits.ça s'appelle avoir des valeurs humanistes.
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/01/19/covid-19-20-des-hospitalisations-ont-une-autre-cause-que-le-virus_6110118_4355770.htmlPour compléter ce qu'un chef de service de réa indiquait au sujet des malades du covid en réa pour une autre raison et enregistrés comme "patient covid"Pour la semaine du 3 au 9 janvier 2022, environ 20 % des patients hospitalisés et diagnostiqués positifs au SARS-CoV-2 ont été pris en charge pour un motif autre que le Covid-19, selon le point épidémiologique publié par Santé publique France (SPF) le 13 janvier. Ils étaient 13 % en moyenne sur l’ensemble de l’année 2021.Ce décalage entre hospitalisations « pour » et « avec » Covid-19 est plus marqué chez les jeunes adultes. Au début de janvier, 44 % des 20-29 ans hospitalisés et diagnostiqués positifs au SARS-CoV-2 l’ont été pour un autre motif médical que le Covid-19 (18 % en soins critiques) et 40 % des 30-39 ans (14 % en soins critiques).
Qui dit crise dit bouc émissaire : les non vaccinés joueront ce rôle parfaitement (certains en plus sont ravis de jouer ce rôle...)