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Au revoir là-haut La maitrise de la mise en scène !La scène d'ouverture annonce la couleur : On n'est pas là pour rigoler et filmer en plan fixe un pot de chambre sur une table pendant 2 heures.Le casting 5 étoiles avec, entre autres, Laurent Lafitte en personnage détestable (ce qui lui va tellement bien) ou Niels Arestrup qui tire la gueule de manière si naturelle.Et puis le film contient de la poésie, de la comédie, du drame, il y a les très beaux masques du personnage de Nahuel Pérez Biscayart ou encore cette caméra qui virevolte et qui passe à travers les fenêtres (je ne connaissais pas cette caméra). On évitera pas, tout de même, deux ou trois points noirs. Comme la scène de la révélation/twist qui tombe quelque peu à plat, les personnages de Émilie Dequenne et Melanie Thierry qui manquent de développement ou encore certains flashback par exemple.Bref : Un film qui sait ce qu'il fait.
Gros pompage sur Birdman (caméra embarquée dans tous les recoins d'un décor sur fond de batterie).Humour sans inspiration, racisme latent...Bref, rien de nouveau sous le nuage noir de la comédie française.
Et le twist, tu parles de la toute fin ?Si c'est ça , j'ai trouvé ça sensé, pour expliquer pourquoi le personnage concerné se décide à être "gentil". Mais c'est vrai que c'était pas obligatoire pour l'histoire.
J'ai un peu l'impression d'avoir vu un Jean Pierre Jeunet ...
Oui, mais la scène du ballon ! Voila.Je ne retiens que ça. Sinon, moui, bof.J'ai trouvé ça très bordélique. J'ai mis un temps fou à m'accrocher à quelque chose dans ce film...C'est dommage, parce qu'il y a un super casting .
