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C'est ça qui est facile justement et qui ne fait en rien avancer les choses car les fameux connards ne vont pas voir son film par définition.
Reste que c'est un surplus misérabiliste dont le sujet n'avait pas du tout besoin pour montrer l'horrible loi du marché.
Si on va par là, ils ne vont pas voir Ken Loach non plus.
Oui, puisque c'est leur but ! Pour autant, ça n'est pas un critère de qualité cinématographique chez moi, même pour un film « social ». Tu avais envie de te battre en sortant de Rosetta ?
J'avais beaucoup aimé Django et je suis très amateur de Tarantino habituellement, mais The hateful eight est loiiiiiiiiiin d'être mémorable si ce n'est un ratage complet. Les dialogues sont effectivement plat alors qu'ils sont souvent la force de ses films (Death Proof...), le scénario est grand guignolesque et sans intérêt.La musique de Morricone n'est pas très inspirée non plus.Reste quand même une jolie mise en scène.
C'te beigne.
Victoria, à part le dernier 1/4 d'heure laborieux, notamment dans la chambre d'hôtel, c'est effectivement très bien.
Pas d'accord.Personnellement, j'étais à fond jusqu'au bout.
Il y a eu un ratage dans la chambre justement, ton œil aguerri l'a probablement remarqué. Ça doit être chiant d'être cinéaste et de ne pratiquement jamais pouvoir être entièrement « trompé » par la magie (et du coup de voir des défauts là où quelqu'un de lambda passera juste un moment agréable ou réflexif ). Un peu comme un prestidigitateur à qui on ne peut plus la faire.Dans une interview le réalisateur dit que les deux autres prises feront partie des bonus du DVD/BR, je suis dégoûté de constater que ce n'est pas le cas.