En boucle ces jours ci.
J'aime bien l'univers de Bibio, et cet album n'y déroge pas, on y retrouve ses subtiles dissonances - pour moi il est un peu le Mac Demarco de la planète electronica, et toujours cette mélancolie ouatée dans les sons électroniques.
Cependant, je ne comprends pas ce que vient faire le track 8 dans cet album, c'est vraiment dommage.
Et aussi, un morceau un peu à part, "Saint Thomas", pas de chant. Très joli. "Petal" aussi l'est et d'autres encore...