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Merde, je viens de rentrer à Londres, j'ai concert demain, et je n'ai toujours pas reçu mes places pour Coldplay
tu vas finir par bosser chez total, toi...ben si ça se maintient, en fiscal t'auras du taf... et des boutons de manchettes et tu bosseras quinze heures par jour et le week end... et puis tu en auras marre et tu paseras le concours d'inspecteur du trésor...
et avoir un gros penchant pour les filles du dea de droit privé
Citation de: "rag doll"et avoir un gros penchant pour les filles du dea de droit privé :nono:
fourni par lumena... CiterBac + 7, profession stagiairemercredi 22 juin 2005 (Liberation - 06:00) on alors, ça y est, j'ai réussi mon bac avec mention très bien, survécu à deux années de prépa, trois années de fac sans égarement, et décroché un DEA d'histoire. Mais bon, j'ai vite senti que pour trouver un emploi, même à bac + 5, ça n'allait pas être aussi facile que me le laissaient croire mes profs du secondaire. Eux croyaient vraiment au bénéfice de longues études : «Aie de bons diplômes, et tu n'auras que l'embarras du choix.»Je pressentais quand même que les études littéraires n'étaient pas très porteuses sur le marché du travail. Alors on me dit : «Fais Sciences-Po et, là, tu pourras vraiment faire ce que tu veux.» Très bien, je réussis le concours et je bosse encore deux années supplémentaires dans cette école ultraprestigieuse qui a «engendré» ministres et présidents...Diplôme en poche, très confiante, je bombarde de CV tout ce que Paris compte comme institutions culturelles, parce que c'est ma spécialisation «gestion des entreprises culturelles» et ma vocation. Et puis Paris, c'est la ville culturelle par excellence, une des premières destinations touristiques au monde, alors avec mon bagage culturel et scolaire...Euh... mais non. Mis à part l'offre d'une association qui n'a rien de culturel, et dont le seul souci semble être d'échapper à tout prix au chômage, en finançant des salaires grâce à des subventions d'Etat, chaque fois que l'on me contacte pour un entretien d'embauche, ça se termine systématiquement par une offre de... stage ! Mais des stages, j'en ai déjà effectué deux de plusieurs mois, dont un obligatoire durant ma scolarité à Sciences-Po.Je tombe sur un article de presse qui annonce la fin de la «paresse» chez les Français, et le retour de la «valeur travail». Etonnant. On est donc paresseux quand on ne trouve pas de travail ? Mais oui, c'est vrai, on m'a appris que nous vivons dans une société méritocratique. Ce qui signifie que ceux qui réussissent (ont un emploi, qui si possible correspond à leur formation et à leurs ambitions) le méritent, et ceux qui n'ont pas d'emploi, qui touchent des allocations de «survie»... le méritent toutautant : ce sont les fameux «paresseux».Mais cette «valeur travail» dont on parle est-elle la même pour les entreprises et pour les chercheurs d'emploi ? Parce qu'une entreprise qui ne propose qu'un stage, au mieux indemnisé 30 % du Smic, à des jeunes diplômés qui totalisent parfois cinq ou sept ans d'études supérieures, et trois ou quatre stages déjà, cette entreprise comprend-elle vraiment la «valeur travail» ? Un travail n'est-il pas censé être rémunéré ? Est-il bien normal qu'en France autant de jeunes soient légalement exploités par lesentreprises ? Est-il est normal que cette main-d'oeuvre réalise gratuitement le travail d'une secrétaire normalement payée au Smic, voire carrément celui d'un collaborateur payé beaucoup plus ?Si les stagiaires sont si nombreux, c'est parce qu'ils ne sont pas paresseux justement et que, quitte à ne pas trouver de véritable emploi, autant s'occuper et ajouter sur son CV une énième «expérience»... mais une expérience sans valeur car, lorsque les employeurs réclament de jeunes diplômés avec «au moins deux ans d'expérience professionnelle», les stages cumulés ne comptent pas !On entend qu'en Roumanie les gens qui travaillent doivent vivre avec moins de 200 euros par mois. On se dit que c'est l'Europe de l'Est, c'est différent... mais c'est exactement pareil ! A part que le niveau de vie en France n'est pas le même, dans la capitale particulièrement. Qui peut vivre avec 300 euros par mois à Paris, sachant que le loyer d'un studio s'élève environ à 600 euros ? Alors la solution c'est Papa et Maman bien sûr, qui ont déjà financé sept ans d'études (et autant d'années de loyers, defactures et de droits d'inscription) dans la capitale. Ou alors, pour les moins chanceux, les petits boulots, au noir de préférence et le soir, la nuit et le week-end.«Société de provocation» : cette formule de Romain Gary revient de manière lancinante. Ce système d'exploitation impensable est devenu banal, tout le monde semble résigné. Les entreprises en premier lieu, qui ont même le culot de faire la fine bouche sur le recrutement de leur main-d'oeuvre gratuite, qui doit, bien sûr, être de première qualité. Parce qu'elles savent qu'il y en aura toujours un pour accepter ce sacro-saint stage non rémunéré, faute d'un emploi payé.Société de provocation... Le plus drôle, c'est que, quand vous vous décidez, résigné, à subir le système, on exige de vous une «convention de stage». Et, pour cela, il faut être inscrit dans une école ou une université, parce que l'ANPE n'est pas concernée par ce problème. Mais l'école qui vous a si généreusement délivré son diplôme ne vous connaît plus, et d'ailleurs elle a peut-être un peu honte de vous, parce que les statistiques sur l'embauche de ses chers diplômés en prennent un coup. D'où inscriptionfictive à l'université, uniquement pour obtenir cette foutue convention, qui n'est pas un contrat de travail et ne permet pas non plus de cotiser.Ah, il y a les bons côtés du stage quand même, comme au ministère de la Culture : une belle vue sur les colonnes de Buren, la promesse de savourer un cocktail avec Bruce Willis (chevalier des Arts et des Lettres !), ou encore la possibilité de faire gratuitement l'ouvreuse et assister, le soir, à certains spectacles de théâtre, faire des traductions non payées, «réceptionner le courrier», se charger des «relances téléphoniques» auprès d'institutions «très prestigieuses»... Mais la vraie consécration, c'estquand on peut grappiller trombones et Post-It pour enrichir à l'oeil sa collection personnelle.Enfin, il y a toujours une solution. La conseillère en carrière de Sciences-Po m'informe qu'il existe des formations à l'ANPE pour me reconvertir. Si Sciences-Po n'a pas été capable de me fournir une formation adaptée au marché du travail, l'ANPE saura. D'ailleurs, j'apprends justement à l'ANPE que les domaines porteurs sont l'artisanat, la santé et les pompes funèbres. Peut-être que je devrais y penser.Après tout je l'ai bien cherché, moi, en choisissant de travailler dans le secteur culturel, sachant pourtant qu'il s'agit d'un secteur sans grands débouchés, et où l'on ne pénètre que par «relations». Si j'avais fait comme les autres, de la finance, de l'audit, si j'avais acquis cette culture de l'argent comment le gérer, le faire fructifier, le défendre, le glorifier , je n'en serais pas là ! Oui, mon non-statut de stagiaire-chômeuse, je le mérite.Et puis, la preuve que ce n'est pas si insupportable comme système : personne ne manifeste, personne ne se plaint, Zone interdite ne fait pas de reportage sur «les trafics de jeunes stagiaires dans les rues de Paris», personne n'envisage de faire la révolution et de faire guillotiner le ministre responsable... C'est que tout va bien alors.
Bac + 7, profession stagiairemercredi 22 juin 2005 (Liberation - 06:00) on alors, ça y est, j'ai réussi mon bac avec mention très bien, survécu à deux années de prépa, trois années de fac sans égarement, et décroché un DEA d'histoire. Mais bon, j'ai vite senti que pour trouver un emploi, même à bac + 5, ça n'allait pas être aussi facile que me le laissaient croire mes profs du secondaire. Eux croyaient vraiment au bénéfice de longues études : «Aie de bons diplômes, et tu n'auras que l'embarras du choix.»Je pressentais quand même que les études littéraires n'étaient pas très porteuses sur le marché du travail. Alors on me dit : «Fais Sciences-Po et, là, tu pourras vraiment faire ce que tu veux.» Très bien, je réussis le concours et je bosse encore deux années supplémentaires dans cette école ultraprestigieuse qui a «engendré» ministres et présidents...Diplôme en poche, très confiante, je bombarde de CV tout ce que Paris compte comme institutions culturelles, parce que c'est ma spécialisation «gestion des entreprises culturelles» et ma vocation. Et puis Paris, c'est la ville culturelle par excellence, une des premières destinations touristiques au monde, alors avec mon bagage culturel et scolaire...Euh... mais non. Mis à part l'offre d'une association qui n'a rien de culturel, et dont le seul souci semble être d'échapper à tout prix au chômage, en finançant des salaires grâce à des subventions d'Etat, chaque fois que l'on me contacte pour un entretien d'embauche, ça se termine systématiquement par une offre de... stage ! Mais des stages, j'en ai déjà effectué deux de plusieurs mois, dont un obligatoire durant ma scolarité à Sciences-Po.Je tombe sur un article de presse qui annonce la fin de la «paresse» chez les Français, et le retour de la «valeur travail». Etonnant. On est donc paresseux quand on ne trouve pas de travail ? Mais oui, c'est vrai, on m'a appris que nous vivons dans une société méritocratique. Ce qui signifie que ceux qui réussissent (ont un emploi, qui si possible correspond à leur formation et à leurs ambitions) le méritent, et ceux qui n'ont pas d'emploi, qui touchent des allocations de «survie»... le méritent toutautant : ce sont les fameux «paresseux».Mais cette «valeur travail» dont on parle est-elle la même pour les entreprises et pour les chercheurs d'emploi ? Parce qu'une entreprise qui ne propose qu'un stage, au mieux indemnisé 30 % du Smic, à des jeunes diplômés qui totalisent parfois cinq ou sept ans d'études supérieures, et trois ou quatre stages déjà, cette entreprise comprend-elle vraiment la «valeur travail» ? Un travail n'est-il pas censé être rémunéré ? Est-il bien normal qu'en France autant de jeunes soient légalement exploités par lesentreprises ? Est-il est normal que cette main-d'oeuvre réalise gratuitement le travail d'une secrétaire normalement payée au Smic, voire carrément celui d'un collaborateur payé beaucoup plus ?Si les stagiaires sont si nombreux, c'est parce qu'ils ne sont pas paresseux justement et que, quitte à ne pas trouver de véritable emploi, autant s'occuper et ajouter sur son CV une énième «expérience»... mais une expérience sans valeur car, lorsque les employeurs réclament de jeunes diplômés avec «au moins deux ans d'expérience professionnelle», les stages cumulés ne comptent pas !On entend qu'en Roumanie les gens qui travaillent doivent vivre avec moins de 200 euros par mois. On se dit que c'est l'Europe de l'Est, c'est différent... mais c'est exactement pareil ! A part que le niveau de vie en France n'est pas le même, dans la capitale particulièrement. Qui peut vivre avec 300 euros par mois à Paris, sachant que le loyer d'un studio s'élève environ à 600 euros ? Alors la solution c'est Papa et Maman bien sûr, qui ont déjà financé sept ans d'études (et autant d'années de loyers, defactures et de droits d'inscription) dans la capitale. Ou alors, pour les moins chanceux, les petits boulots, au noir de préférence et le soir, la nuit et le week-end.«Société de provocation» : cette formule de Romain Gary revient de manière lancinante. Ce système d'exploitation impensable est devenu banal, tout le monde semble résigné. Les entreprises en premier lieu, qui ont même le culot de faire la fine bouche sur le recrutement de leur main-d'oeuvre gratuite, qui doit, bien sûr, être de première qualité. Parce qu'elles savent qu'il y en aura toujours un pour accepter ce sacro-saint stage non rémunéré, faute d'un emploi payé.Société de provocation... Le plus drôle, c'est que, quand vous vous décidez, résigné, à subir le système, on exige de vous une «convention de stage». Et, pour cela, il faut être inscrit dans une école ou une université, parce que l'ANPE n'est pas concernée par ce problème. Mais l'école qui vous a si généreusement délivré son diplôme ne vous connaît plus, et d'ailleurs elle a peut-être un peu honte de vous, parce que les statistiques sur l'embauche de ses chers diplômés en prennent un coup. D'où inscriptionfictive à l'université, uniquement pour obtenir cette foutue convention, qui n'est pas un contrat de travail et ne permet pas non plus de cotiser.Ah, il y a les bons côtés du stage quand même, comme au ministère de la Culture : une belle vue sur les colonnes de Buren, la promesse de savourer un cocktail avec Bruce Willis (chevalier des Arts et des Lettres !), ou encore la possibilité de faire gratuitement l'ouvreuse et assister, le soir, à certains spectacles de théâtre, faire des traductions non payées, «réceptionner le courrier», se charger des «relances téléphoniques» auprès d'institutions «très prestigieuses»... Mais la vraie consécration, c'estquand on peut grappiller trombones et Post-It pour enrichir à l'oeil sa collection personnelle.Enfin, il y a toujours une solution. La conseillère en carrière de Sciences-Po m'informe qu'il existe des formations à l'ANPE pour me reconvertir. Si Sciences-Po n'a pas été capable de me fournir une formation adaptée au marché du travail, l'ANPE saura. D'ailleurs, j'apprends justement à l'ANPE que les domaines porteurs sont l'artisanat, la santé et les pompes funèbres. Peut-être que je devrais y penser.Après tout je l'ai bien cherché, moi, en choisissant de travailler dans le secteur culturel, sachant pourtant qu'il s'agit d'un secteur sans grands débouchés, et où l'on ne pénètre que par «relations». Si j'avais fait comme les autres, de la finance, de l'audit, si j'avais acquis cette culture de l'argent comment le gérer, le faire fructifier, le défendre, le glorifier , je n'en serais pas là ! Oui, mon non-statut de stagiaire-chômeuse, je le mérite.Et puis, la preuve que ce n'est pas si insupportable comme système : personne ne manifeste, personne ne se plaint, Zone interdite ne fait pas de reportage sur «les trafics de jeunes stagiaires dans les rues de Paris», personne n'envisage de faire la révolution et de faire guillotiner le ministre responsable... C'est que tout va bien alors.
il fait trop chaud pour le lire en entier ton truc la toi,ca parle de quoi en 2 lignes?
Citation de: "The Eurasian"Ouais, j'veux pas me faire l'avocat du diable (fiscal, prive ou autre huhuhu), je sais que chercher du boulot n'est pas facile, voir meme tres dur parfois, mais bon...la clef n'est pas d'avoir la culture de l'argent, c'est de savoir saisir sa chance et d'etre malin mais ca evidemment on ne l'apprend pas a l'ecole.C'est d'ailleurs pour ca que les entreprises demandent de l'experience, elle recherche avant tout de la reactivite et ce que ne semble pas avoir compris la personne de l'article, c'est que l'employeur (et en particulier les RH, not Radiohead ...meme si on peut encore en rediscuter...) analyse ca de suite.Subir des examens, avoir des diplomes c'est la base minimale demandee, les 10 ou 100 000 autres personnes qui se presentent a l'entretien sont pareils.Comprendre et exploiter la mecanique sociale, professionnelle pour ne pas dire "concurrentielle" c'est notre valeur ajoutee (ca vient avec l'experience ou la maturite). Etre malin c'est de savoir en profiter pour donner envie a l'interlocuteur de travailler avec soi. Voila le message a faire passer.Bon chai pas si c'est clair . Je fais encore le donneur de lecon, c'est sur...mais en attendant, 4 mois de stage en tout et pour tout (fin d'etudes), des etudes correctes en maths, resultat, dans le 1er semestre de recherche d'emploi j'avais choisi et signe pour un boulot completement improbable... et je ne nie pas le fait d'avoir ete au bon endroit au bon moment, seulement apres on verrouille tout et GO GO GO!...mais en fait...on s'en fout! EDIT: chui sur qu'il reste encore des fautes d'orthographe...tiens, c'est marrant, tu m'as soulée, là...en fait, ce qu'elle dit, c'est ce qu'on rencontre dans pas mal de secteurs.des gens qui ont bac +5 et qui font un an de stages payés que dalle, j'en connais plein, c'est loin d'être des cons ou des glandus qui savent pas saisir une opportunité. seulement dans certains secteurs, les boites ont bien compris que si elles fonctionnent en permanence avec trois quatre stagiaires qu'elles "indemnisent" un tiers du smic (et hop ! pas de charges sociales), elles économisent un ou deux postes, à temps plein...et quand tu dis que es entreprises cherchent de l'expérience, ok : mais alors, comment tu te la forges, ton expérience, si c'est pas en stage ?et donner envie à l'interlocuteur de travailer avec soi, c'est possible que si il te propose un vrai boulot. mais regarde dans ertains secteurs : on ne propose pas de travail. et quand tu postules pour un emploi, pour un contrat de travailet qu'on te répond : on a un stage pour vous, je crois que ce n'est pas le candidat qui manque de capacité de récation.enfin bref, je vais finir de me préparer pour aller à mon stage
Ouais, j'veux pas me faire l'avocat du diable (fiscal, prive ou autre huhuhu), je sais que chercher du boulot n'est pas facile, voir meme tres dur parfois, mais bon...la clef n'est pas d'avoir la culture de l'argent, c'est de savoir saisir sa chance et d'etre malin mais ca evidemment on ne l'apprend pas a l'ecole.C'est d'ailleurs pour ca que les entreprises demandent de l'experience, elle recherche avant tout de la reactivite et ce que ne semble pas avoir compris la personne de l'article, c'est que l'employeur (et en particulier les RH, not Radiohead ...meme si on peut encore en rediscuter...) analyse ca de suite.Subir des examens, avoir des diplomes c'est la base minimale demandee, les 10 ou 100 000 autres personnes qui se presentent a l'entretien sont pareils.Comprendre et exploiter la mecanique sociale, professionnelle pour ne pas dire "concurrentielle" c'est notre valeur ajoutee (ca vient avec l'experience ou la maturite). Etre malin c'est de savoir en profiter pour donner envie a l'interlocuteur de travailler avec soi. Voila le message a faire passer.Bon chai pas si c'est clair . Je fais encore le donneur de lecon, c'est sur...mais en attendant, 4 mois de stage en tout et pour tout (fin d'etudes), des etudes correctes en maths, resultat, dans le 1er semestre de recherche d'emploi j'avais choisi et signe pour un boulot completement improbable... et je ne nie pas le fait d'avoir ete au bon endroit au bon moment, seulement apres on verrouille tout et GO GO GO!...mais en fait...on s'en fout! EDIT: chui sur qu'il reste encore des fautes d'orthographe...
Citation de: "para"il fait trop chaud pour le lire en entier ton truc la toi,ca parle de quoi en 2 lignes?C'est une connasse bac +5 profil litteraire qui trouve pas de putain de boulot dans le milieu culturel autre que des stages quand elle en trouve et meme que c'est la faute de la societe!
Bref, ce qui marche, c'est le réseau. Point barre.
Citation de: "The Eurasian"Citation de: "para"il fait trop chaud pour le lire en entier ton truc la toi,ca parle de quoi en 2 lignes?C'est une connasse bac +5 profil litteraire qui trouve pas de putain de boulot dans le milieu culturel autre que des stages quand elle en trouve et meme que c'est la faute de la societe!au fait ...la "connasse", comme tu dis, était en prépa avec moi, alors molo