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Réactions dans la presse à l'annonce de la sortie d'In Rainbows

hunting android · 219 · 72675

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Hors ligne Canard de barbarie

  • Bidule
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Il n'y a qu'à voir le nombre de groupes qui ont connu la gloire grace à internet dernièrement.
Et puis la manière d'écouter la musique a changé: myspace a supplanté la bande FM :spamafote:




Hors ligne Ectorleressor

  • Hippo nain
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Je n'arrive pas à le lire...   :glob:
C'est un fichier real player, si t'es comme moi, real player fonctionne pas chez toi pour d'obscurs raisons...
donc dans ce cas tu peux utiliser ça:
http://www.clubic.com/telecharger-fiche11099-real-alternative.html
et tu enregistres le lien d'hunting sur ton ordi et l'ouvres avec ce logiciel, normalement ça marchera!
« Modifié: jeu. 4 octobre 2007, 15:59:14 par Ectorleressor »
De la joie de vivre...de la joie de vivre et du jambon!! C'est ça la clef du bonheur!!


Hors ligne Bébéééééé

  • Bidule
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C'est un fichier real player, si t'es comme moi, real player fonctionne pas chez toi pour d'obscurs raisons...
donc dans ce cas tu peux utiliser ça:
http://www.clubic.com/telecharger-fiche11099-real-alternative.html
et tu enregistres le lien d'hunting sur ton ordi et l'ouvres avec ce logiciel, normalement ça marchera!

Yes merci Ector ça marche  :bravo:


Hors ligne the lukewarm

  • Bidule
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Bon, moi, j'écoute les infos tous les jours en espérant entendre des radios s'offusquer de la chose et pour l'instant rien... Je pense que mercredi prochain il faudra écouter plus attentivement...


Hors ligne Raphael

  • Bidule
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en meme temps radiohead n'est jamais vraiment beaucoup passé à la radio (il y a une contradiction dans cette phrase ou c'est moi ?)




Hors ligne Bébéééééé

  • Bidule
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Citer
Radiohead: poker sur le net
En annonçant la mise en vente prioritaire de son nouvel album via son site internet, le groupe d'Oxford va-t-il changer la donne du business ou se paie-t-il un joli coup de bluff?

L'antépénultième album de Radiohead, Kid A, empruntait son nom à une méthode d'apprentissage préscolaire. Enfantine également, l'idée que le groupe anglais a tapageusement annoncée sur son site internet lundi dernier (24 heures du 3 octobre): en fin de contrat avec leur label de toujours, EMI, Thom Yorke et ses acolytes proposent tout simplement aux fans de télécharger leur nouveau disque au prix qu'ils l'estiment. In Rainbows sera ainsi mis en vente, le 10 octobre, sur le site du groupe uniquement, par transfert numérique ou sous la forme d'un coffret «physique», vendu 95 francs. Dans les deux cas, cette opération commerciale précédera une mise en vente sous forme de CD, vraisemblablement début 2008.

Casser les intermédiaires
De l'artiste au fan, du producteur directement au «consommateur». Une vieille lune, une utopie depuis que le premier baladin fut rétribué par une tierce personne pour amuser la galerie. Mais internet a changé la donne. Il est devenu instrument de piratage et d'échange de fichiers musicaux, outil promotionnel (les groupes Myspace.com), interface de nouvelles habitudes de «consommation musicale» via les sites de téléchargement légaux, etc. En revanche, sa fonction permettant, théoriquement, à Madonna de vous contacter dans votre salon pour vous vendre sa musique ne s'est pas affranchie du réseau d'intermédiaires traditionnels. Par exemple, iTunes fait office à la fois de distributeur et de vendeur de musique mais ne supprime pas leur rôle. En ce sens, Radiohead vient de franchir un pas inédit, par son radicalisme et son potentiel de succès. Car d'autres s'y sont frottés, mais aucun n'a réussi son coup.

Saluons Prince, qui, jamais en retard d'une bonne idée, annonçait, dès 1999, la mise en vente exclusive de sa musique sur son site. Trop tôt (ou de trop peu d'intérêt?): l'auteur de Purple Rain sort toujours des CD (mais il les distribue gratuitement dans un journal anglais!). Un autre gros poisson, Manu Chao, a offert, sur son site, le single de son nouvel album moins une refonte structurelle qu'un cadeau promo, bien que le chanteur annonce que La radiolina sera sans doute (mon) dernier CD.» Dans la presque totalité des cas, la vente unique depuis le site de l'artiste se fait moins par volonté de rupture que par dépit. Manque d'intérêt, absence de label ou de distributeur: les «petits» jouent la carte du direct, faute de mieux. Quelques «gros» l'utilisent comme complément à leur sortie CD pour offrir (rarement vendre) des versions démos ou inédites. Là encore, plus dans un souci promotionnel que strictement commercial.

Poète de l'ère informatique
Le coup de Radiohead a-t-il un avenir? Rien n'est moins certain. Car les cinq d'Oxford paraissent bien les seuls à cumuler tous les facteurs permettant à un artiste le luxe de s'émanciper de la matrice économique: hors contrat discographique, mais jouissant d'une aura médiatique exceptionnelle, le groupe est assuré du soutien indéfectible d'un réseau de fans en phase avec les nouvelles technologies dont Radiohead fait depuis OK Computer (1997) son propos musical! Avec ses allures d'étudiant autiste, Thom Yorke incarne mieux que personne l'espèce de poète de l'ère informatique. Last but not least, le groupe a les moyens de financer la structure de vente autonome qui assure les transactions bancaires et le suivi des commandes. Signe de la toute-puissance des cinq Anglais ou de la faiblesse des majors, Radiohead serait toujours en négociation, notamment avec EMI, pour la sortie CD de l'album que chaque fan aura pu légalement se procurer des mois auparavant! Anecdote ou révolution? La tentative sera au moins un moyen de juger de la solidité des habitudes CD auprès de la population la plus encline à l'enterrer.

24 Heures


En ligne hunting android

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http://www.thisislondon.co.uk/music/article-23415258-details/Off%20the%20record/article.do


Radiohead's long-term creative partner Stanley Donwood talks to David Smyth on the band's decision to practically give their album away.

RADIOHEAD ARE RIGHT ON THE MONEY

All the talk in the business is of Radiohead's "honesty box" policy for next week's In Rainbows album, and the question of how much you should choose to pay to download new music by one of the world's most important bands.

But perhaps that's missing the point. The group's spokesman reports that so far, not only are fans choosing to fork out a reasonable sum for the download, but the majority are choosing instead to order the "Discbox" - a £40 version, not released until 3 December, that features the album as a download, CD and two 12-inch vinyl records, with eight extra tracks and a lovingly compiled lyrics book full of new artwork by Radiohead's long-term creative partner, Stanley Donwood.

If the download could be a steal, this is a serious financial commitment. Is it worth it?

"It depends how rich you are!" I'm told by Donwood, who has designed every Radiohead release since their 1994 single, My Iron Lung. "If you're on the dole, of course it's a hell of a lot of money. But it costs about that much to go to a Premier League football match, and this project has taken an incredible amount of work. It's been a long journey over 10 months, with the artwork evolving as the music has evolved. And it weighs about half a kilo."

The artist has become a sixth member of the band, hearing new songs as they are created and adapting his visuals accordingly.

For In Rainbows he's been trying a photographic etching technique, putting prints into acid baths with random results. He keeps the finer details close to his chest, and the band refuse to show off the box properly until the release date, but a small picture at www.inrainbows.com shows multicoloured, blocky text contrasting with scratchy grey abstractions. "The finished product is quite a lush thing. It's the most over-the-top project I've done with them."

It's an odd position for a major band to be in, where their music could be perceived to be of little monetary value while the artwork costs a bundle. But for Radiohead, Donwood's apocalyptic visuals have long formed a vital part of a complete package. They perfectly complement the songs, from the weeping cartoon minotaur of their Amnesiac album to the grim painted street plans of Hail to the Thief, plastered with words such as "snakes", "poor souls" and "venture capitalism". An impressive new book of his Radiohead-related work, Dead Children Playing (published by Verso on 22 October) shows his progression from the pharmaceutical logos of their greatest album, OK Computer, to the lino-cut cityscapes of The Eraser, last year's solo album by frontman Thom Yorke.

He studied Fine Art with Yorke at Exeter, and admits that the friends share a similar bleak worldview. "We shout at the same bits of the news."

His close involvement is paying off. Unlike bands such as Hard-Fi, who have claimed that artwork is irrelevant in this iPod age, Radiohead and Donwood's success with their latest innovation shows that if it looks great as well as sounding great, music can still be very valuable indeed.

HOME IS WHERE THE ART IS FOR SIGUR ROS

Has a group ever sounded so much like the environment that spawned them as Iceland's Sigur Rós? I found conclusive proof at a preview of the quartet's forthcoming film, Heima, which will be screened as part of the BBC's Electric Proms season at Cecil Sharp House on 24 October.

Part rockumentary but more like the kind of thing that should have a David Attenborough voiceover, it records the quartet's extensive tour of their homeland last summer, playing mostly unannounced free shows in tiny villages.

The images, like the music are hard to top for pure beauty. "I sometimes get this uncontrollable urge to go home," says bassist Georg Hólm, against one of the stunning backdrops.

They are seen performing on a marimba made from natural local stones, playing inside a disused fish factory to draw attention to a struggling local industry, and putting on an electricity-free set beside the Karahnjúkar hydroelectric dam, to protest at the ravaging of Iceland's wilderness.

Even more memorable, though, are the shots of children, grandparents and everyone in between enjoying the music - an entire nation supporting their greatest band.

AN EARLY LISTEN TO...
Craig David
Trust Me (Warner Bros)

It seems such a long time since 2001, when a freshfaced Craig David (right) first burst onto the scene, picking up four Brit nominations in that first year. But even now, he's only .., and in the fickle world of British R&B has done remarkably well to be releasing his fourth album on 12 November.

For his comeback he's got an attention-grabbing single, Hot Stuff, which samples David Bowie's Let's Dance so much that it's virtually a cover. He's also replaced the ludicrously sculpted facial hair with unfussy stubble, but most noticeably he's been recording in Cuba, and given tracks such as Don't Play with Our Love and She's on Fire a lively Latin swing.

Though it was the strongly British sound of his early singles that gave him his biggest hits, if he is to sustain a career into his thirties he's right to broaden his horizons.


Hors ligne cris_

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mais... hunt... :wow: hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!!! sigur ros ! craid david !
flooooooooooooooooooooooooooooooooooooo ooooooooooooooooooood !!!!!!!








 :D