Infos/Concerts

[Nicolaaas)*]

quoique je n'ai pas de moyens de transport pour l'instant...
Mon chauffeur fan de post rock habituel n'aime pas silver mount zion...

Il n'aime pas ASMZ ! Wahou  
Enfin pourquoi pas après tout.
Moi ça va, j'y suis en 10 minutes en bus... Et c'est une super salle niveau acoustique :) (testé et approuvé sur dEUS, Luke ou Camille)

[hunting android]

Moi avec ghinzu et Eels :) salle très sympathique en effet.

[Lum]

Pour les parisiens ...

le collectif Uni(e)s contre une immigration jetable vous invite au grand rassemblement Uni(e)s contre une immigration jetable qui se tiendra dimanche 2 avril entre 13h et 19h à Paris, sur la place de la République en présence de

93 SLAM CARAVANE
AKLI D.
BERNARD LAVILLIERS
CALI
DIDIER LOCKWOOD
DIDIER SUPER
DYONISOS
FIL
LA BRIGADE
LA RUE KETANOU
LADY LAISTEE
LOÏC LANTOINE
LO'JO
LOUISE ATTAQUE
M.A.P.
MANO SOLO
OAÏSTAR
RODOLPHE BURGER
SOUAD MASSI
TETES RAIDES

[Dr. Buck]

DIDIER LOCKWOOD
DIDIER SUPER

 

[hunting android]

je vais le voir le 6 avril didier super...
 

[Isidore]

Le Point Ephémère. Jeudi 30 mars. 20H.
Je suis arrive en avance. Je ne sais pas trop à quoi m’attendre. Longue file d’attente ?
Je rentre dans le bar. Plein de gens stylés comme je n’aime pas. Je m’inquiète un peu.
Pour faire passer le temps je bois une bière.
Puis bon arrivent 20h30 je rentre dans la salle.
C’est tout petit. C’est terrible.
Sur mon billet sont annoncés Sébastien Martel, guitariste émérite de M, et Spleen, dont on m’a dit « tu verras Spleen c’est très... très… heu… spleen ».
Bon ben on verra.
Le concert ne démarrant toujours pas, je commande une petite pinte.
Ah ! Enfin les lumières s’éteignent.
Un mec, seul, au milieu de la scène, avec sa gratte et un vilain tricot écru style larzac. Personne ne connaît son nom. Il faudra que je lutte un peu pour le trouver sur une affiche.
Hugh Colman.
Il commence à gratouiller et entame sa chanson par un « yeah ouhouou » du plus bel acabit du monde du R’N’B.
Putain je flippe.
Bon en fait il nous joue une petite ballade folk soul (je crois d’ailleurs que cette expression est la meilleure pour résumer son style).
Ensuite il se lâche un peu et ça devient carrément sympathique. Des morceaux un peu funky, la guitare bien rythmée. Il nous gratifie même d’une reprise d’un vieux titre de Blind Lemon Jefferson, bluesman du Delta des années 20.
Il m’a fait penser dans la voix à Stevie Wonder, et pourtant c’était un chanteur blanc. Mais j’ai bien aime son style.
Apres quelques morceaux dans le même style il conclut par un petit blues de derrière les fagots, joué à l’harmonica et qui a mis la pêche à tout le monde.
Ensuite petite pause.
Arrivée sur scène d’une bande de jeunes. Leur leader a un look bien particulier. Cheveux rases sur le côté et très touffu sur le dessus. Pas punk. Non. Plutôt freak. Enfin un style très personnel.
Le groupe s’appelle Chimère, et je ne sais pas à quel son m’attendre.
Très très bonne surprise. C’est un genre de hip hop fusion. Funkcore. Je ne sais pas trop comment expliquer. Imaginez les Rage Against The Machine qui auraient rencontré la crème des funky man des 70’s et un rappeur des bas fonds parisiens. Du très bon. Il y a tout. Déjà faut oser faire du rap avec un groupe et pas une boite à rythmes toute conne. C’est assez rare pour être remarqué. La batterie est excellente. La basse claque comme j’aime. Et il y a même de la Human Beat Box. Et ça, ça me ravit.
Ensuite le moment que j’attendais. Celui pour lequel j’étais venu. Monsieur Sébastien Martel.
Je le connaissais de nom parce que c’est le guitariste de M, et que j’avais vu sa prestation il y a 3 ans à l’olympia. Il avait aussi le même jour assuré la première partie avec son frère, Nicolas, sous le nom de Las Ondas Marteles. Un duo très hispanisant, puisqu’ils interprétaient musicalement les textes d’un ami cubain.
J’ai appris qu’il commençait sa carrière solo d’une façon assez sympa d’ailleurs. J’étais chez un pote et il me sort un CD gravé, en me disant « c’est le voisin d’un pote qui fait ça, tu vas voir c’est sympa ». Je regarde le nom, «ben merde tu diras a ton pote que son voisin c’est le gratteux qui joue avec M ».
Enfin voilà du coup le voyant programmé à Paris je me suis décidé à aller le voir jouer.
Il débarque sur scène avec une tête incroyable. Fini le look cow-boy des tournées chedidienne. Aujourd’hui il a une touche hendrixienne. Le cheveu « long » et un bandeau pour les tenir.
Son style musical? Rock blues.
Mais pas seulement. Sur plusieurs morceaux il se fait accompagner par un mec, Tez, qui fait du beat box. Et ça devient énorme. Ca donne une autre dimension à sa musique.
Un mec à coté de moi crie « Ouais! Il est où Razel ?». Pour ceux qui ne connaissent pas Razel est le dieu de la human beat box. Il était en tournée avec Ben Harper à un moment pour jouer Steal My Kisses , on l’entend d’ailleurs sur Live From Mars.
Du coup il se prend en retour un petit « Razel il est au placard » du sieur Martel.
Ils seront rejoint par un second mec qui fera de la beat box. Ce morceau était vraiment excellent d’ailleurs. Deux mecs qui peuvent faire 3 instruments avec leur bouche ça devient flippant.
Ensuite il nous fait deux trois morceaux tout seul avec guitare et harmonica, mon voisin remet ça. « Ouais! Bob Dylan ». « Au placard. Il pousse Razel ».
Vers la fin de son set je vois un mec qui monte sur scène avec une valoche.
Je me dis, putain le groupe d’après ils abusent quand même, ils pourraient le laisser finir.
Sébastien finit son morceau et annonce : « mon petit frère Nicolas vient d’arriver, alors on va jouer ensemble ».
En fait le mec à la valise c’était le frère.
Du coup ils nous gratifient de leur son hispanisant. Magique.
Nicolas a une voix très grave, très belle. Et un jeu de maracas marrant.
De nouveau petite pause. Je discute avec mes voisins de fosses. Je leur en apprends un peu plus sur Sébastien Martel et son parcours, ainsi que toute la bande avec qui il tourne, les zicos de M.
Pour clore ce mini festival Spleen monte sur scène.
Ca va être très dur de vous faire comprendre ce que c’est.
En fait les Deux mecs qui faisaient les beat box pour Sébastien Martel font parti de Spleen. L’un d’eux est d’ailleurs le chanteur.
Il y a donc de la batterie, de la gratte acoustique, de la basse funky, des machines, de la beat box, et en fond de scène, Sébastien Martel.
Le chanteur reste assis à jouer un peu de gratte sur les 2 premiers morceaux, puis se lève pour enlever son pull et on découvre sa tenue.
Un fuseau en lycra noir surmonté d’un tutu rose.
Personne n’avait fait gaffe jusque là.
Une tenue à la mesure du personnage.
Je ne sais pas quoi dire de plus à part que c’était bien tripant comme son et que le lieu était vraiment pas mal du tout. Et le public de la salle de concert du Point Ephémère bien différent de la clientèle du restaurant. Heureusement.

[novocaine]

Pour les parisiens ...

le collectif Uni(e)s contre une immigration jetable vous invite au grand rassemblement Uni(e)s contre une immigration jetable qui se tiendra dimanche 2 avril entre 13h et 19h à Paris, sur la place de la République en présence de

93 SLAM CARAVANE
AKLI D.
BERNARD LAVILLIERS
CALI
DIDIER LOCKWOOD
DIDIER SUPER
DYONISOS
FIL
LA BRIGADE
LA RUE KETANOU
LADY LAISTEE
LOÏC LANTOINE
LO'JO
LOUISE ATTAQUE
M.A.P.
MANO SOLO
OAÏSTAR
RODOLPHE BURGER
SOUAD MASSI
TETES RAIDES

j'y suis allée (en début d'après midi, on contrôlait l'accès des photographes à la scène)

c'était bien sympathique ma foi !
bon, ils ont commencé très en retard, en ayant fait des balances interminables (je crois que presque tout le monde est monté faire ses réglages. du coup, en étant sur place en avance, j'ai entendu deux fois les têtes raides...) et chaque groupe ne jouait que deux ou trois titres... en même temps, vu le nombre d'artistes, c'était pas possible autrement

forcément, y a eu quelques "scories" (genre lady laistee, la brigade... les gens qui montent sur scène en pyjama je trouve ça négligé... ) mais l'avantage de set aussi courts, c'est que les prestations des quelques uns que je n'ai pas pu encaisser n'ont pas été trop longues à supporter...

les trucs vraiment bien. la rue ketanou... les pauvres, ils ont été les premiers, donc ils ont eu du mal à démarrer, il y a eu une sorte de "faux départ", et puis ça a roulé ensuite
les petits jeunes qui pogottaient avec leur litron de rouge à la main n'ont pas trop aimé souad massi... ha bah forcément, la musique, des fois, faut écouter pour comprendre, il suffit pas toujours de sauter partout en braillant
didier lockwood, bon. c'est brillant ce qu'il fait avec un violon, mais ça cassait un peu le rythme (les petits jeunes ont du aller se ravitailler à ce moment là)
didier super... il n'aime pas les pauvres, ni les enfants... il est fidèle à lui même, quoi (j'ai beaucoup aimé, quand il a demandé s'il y aavit des pauvres dans le public... et qu'il a dit ensuite "non ! des vrais pauvres, pas des petits cons qui se fringuent mal pour faire chier leurs parents ! ceux là, on les connait, dans 5 ans ils sont ingénieurs"... j'aime pas les jeunes...)

j'ai raté cali, j'étais au café... zut... m'en fous, j'étais presque au coude à coude avec lui pendant les têtes raides... c'était un peu après mano solo

et puis sinon, reprise bien pêchue de song 2 par louise attaque et dionysos, c'était tonique, ça fait du bien

sinon, reproche général : dans les assos, y a pas que des retraitées hystériques qui protègnt les droits de l'homme parce que le macamé c'est ringard comme passe temps. des gens de moins de cinquante ans qui savent avoir un discours construit et un minimum accrocheur, ily en a plein dans les associations, et ils auraient été sans doute plus efficaces et agréables à écouter que certaines. le cliché de la vieille passionaria qui sent la naphtline, ça m'a un peu agacée...

voilà
en plus il faisait beau, ça meuble bien agréablement un dimanche après midi

[Isidore]

meme concert autre avis...

“Un, deux, un deux, test, test”
Les premiers sons que j’entends en sortant du métro me plaisent et me déplaisent…
Il est 13h. Les balances ne sont pas finies.
Bon d’un coté c’est bien je vais avoir le temps d’aller me grignoter un truc(merci monsieur mcdo, je sais c’est mal mais bon), mais d’un autre coté je flippe, quand va commencer le concert ?
Bon allez je mange un bout et hop je me jette dans la foule…
Déjà plein de gens sont montés sur la « République », la colonne au centre de la place.
Moi je me faufile dans la foule éparse qu’il y a à 13h20.
Du coup je me retrouve très bien place pour un concert de cette ampleur.
En tous cas bien place dans la foule aussi. De très jolies demoiselles m’entourent.
J’aime les concerts pour ça. Je suis toujours très bien entoure.

Bon les balances continuent.
On voit défiler quelques groupes rapidement qui jouent au mieux un morceau.
Ce ne sont que les répétitions mais ça augure du bon.
Du très très bon même.

Dernier groupe à monter sur scène pour les réglages, La Rue Ketanou.
Hum.
Ca fait quelques mois que je ne les aie pas vu je suis un peu comme un fou.
Olivier, l’un des guitaristes annonce direct « on fait nos réglages et on joue »
Grandiose. Je n’aurais jamais espère qu’ils ouvriraient le bal.
Bonheur, bonheur, bonheur.
Ils en finissent avec les réglages, mais avant de commencer, un mec avec une casquette s’avance sur scène.
Sûrement un gars qui va présenter un peu le festival.
Que nenni. Il se nomme Ossin Ben. Il est slameur.
J’ai un peu peur parce qu’à Paris le slam ça veut tout dire.
Mais là heureuse surprise le bonhomme fait du vrai slam. Il déclame, il a un flow. Très bon texte en plus, en rapport évidemment avec cette journée contre l’immigration jetable.
Il reviendra souvent en très les artistes, ainsi que des membres de son collectif 93 Slam Caravane.
Et en fin c’est au tour des trois zigues de La Rue Ketanou.
C’est toujours aussi bon. Premier titre, Impossible. En deux, et j’ai envie de dire évidemment, Mohammed, une chanson sur l’immigration, et les frontières et les papiers. Puis comme dernier titre, Les Cigales.
Juste derrière leur compère Loïc Lantoine. Un ancien des Têtes Raides qui aujourd’hui évolue en solo et aussi dans le groupe Mon Cote Punk, fondé par les deux guitaristes de La Rue Ketanou.
Il nous dit trois textes. Oui, il déclame, il ne chante pas. Il raconte la misère sociale de son Ch’nord natal.
Et le contrebassiste qui l’accompagne est impressionnant. Il joue de tout son instrument. Les cordes, la caisse, devant, derrière. Très bon ce gars.
Arrivent des fous furieux après lui. Le M.A.P. Comprenez le Ministère des Affaires Populaires. Pour ceux qui connaissent Java, ça m’a un peu rappelé leur son.
Du rap, va-t-on dire, sur du son bien franchouillard. Avec de l’accordéon bien entendu.
Ca dénonce dans les textes. Comme pas mal de choses qu’on entendra dans l’après-midi, mais toujours assez finement.
Didier Lockwood commence assez timidement son set. Il n’est pas présenté. Mais comment ne pas reconnaître ce grand bonhomme seul avec son instrument.
Quel moment de violon ! Il se sample. Il joue lui aussi de tout son instrument. Fait tous les sons. C’est sur que ça ne met pas la même ambiance que les précédents mais que c’était bon. C’est réfléchi comme son. Et assez oriental si je me souviens bien.
Je retiens surtout une image de cette prestation. Une image orientale. Le vent se lève un peu. Dans le fond, par là où les artistes accèdent à la scène, une jolie demoiselle. Métisse, cheveux bouclés  aux reflets rouges. Ils sont agités par le vent. Qui est-elle ?
Et surtout ça me permet de faire le lien avec Souad Massi. Toujours aussi belle. Et sa voix, sa voix. Je suis définitivement sous le charme.
La réponse à ma question arrive. Le groupe Lo’Jo fait son entrée, avec en son sein une joueuse de cora, un instrument sénégalais magnifique, aux cheveux rouges. Mmm. J’avais déjà vu ce groupe il y a quelques années dans un festival, je n’avais pas trop aimé, mais j’étais dans des conditions particulières. Aujourd’hui je le revendique : j’apprecie bien leur son et leur style metissé. Des sons orientaux mélangés avec de la voix française, et de la boite à rythmes.
Complètement en décalage le mec qui arrive ensuite, Didier Super. Je crois qu’il était bien défoncé. Pour commencer il n’a pas de sangle à sa guitare. Qu’à cela ne tienne. Il avait un rouleau de gaffer, du gros ruban adhésif noir qu’on utilise en audiovisuel, et il s’en fabrique une avec. Bon sinon son style, toujours le même. Pas fin mais toujours trentième degrés.
C’était quand même sympa. Il faut tout prendre à l’inverse de ce qu’il dit. La dénonciation inversée. Ca marche en tous cas.
Bon la suivante c’était Lady Laistee. Je ne vais faire aucun commentaire, je n’accroche definitivement pas.
En plus la nana qui porte un pantalon de jogging super baggy et qui passe son temps à le remonter au niveau de l’entrejambe merci. Elle a des burnes ou quoi ?
Derrière la rappeuse cétait Fil, je dois avouer c’etait pas super motivant comme musique. Un mec seul avec sa gratte et mou. Enfin de ce que j’ai entendu. J’etais pas super concentre.
Forcément les fous furieux de No Bluff Sound ont mis un sacré bordel apres Fil.
L’ambioance est tout de suite repartie et tout le monde bougeait. Ca dansait ragga sur scene. Cette petite choregraphie avec le bassin et les pieds moi je la retiens et je la ressors direct dans ma prochaine soirée.
Encore un bon petit gourpe metissé après eux, Akli D. Une guitare à douze cordes, des percussions, et un autre guitariste avec un bras enorme, bizarre et tout gonflé. Son handicap ne l’empechait pas de jouer des solos assez sympas, toujours dans une ambiance orientale. Un des percussionistes s’est bien laché en courant et sautant partout.
Tout de suite après un nom que j’ai lu dans pas mal de magazines, Lola Lafon et Leva.
Je ne connaissais rien d’autre que le nom. La voix de la chnateuse est un peu speciale. Trop aigue j’ai trouvé. Mais les chansons en roumain c’est beau. Un clin d’œil, ironique, aux chanteurs roumains du metro « bonjour pardon pour la derange, merci pour la musique, bon voyage ».
Deuxième groupe pur rap de l’après midi, La Brigade a fait une bonne presta. Si tout le monde leve les bras c’est que c’est bon non ? Ca hurlait bien fort sur scene et dans le public aussi. Un bon contact en tous cas. C’est sur j’ia plus accroche que Lady Laistee.
Un monument ensuite. Bernard Lavilliers. Monsieur Bernard. Il a evidemment fait sa chanson fetiche, Noir et Blanc, la nouvelle version. Celle qu’il joue depuis sa dernière tournée. Très sympa. Il nous fait quelques petits pas de danse qui nous ont fait marrer. Et on a pas résisté avec mes potes à hurler un petit « A poil Bernard ». Sans commentaire.
Cali arrive ensuite. Accompagné de son tromboniste. Que tous les deux.
Le son etait tout naze. J’etais un peu enerve contre l’inge son qui avait la gratte trop forte et le trombone on ne l’a pas entendu pendant la moitie de la premiere chanson, L’Exil, evidemment dedicace à son grand-pere. Cette chanson, je ne sais pas pourquoi, me fait penser au bouquin Sniper de Pavel Hak. Puis Elle M’a Dit. Evidemment c’etait le bordel. Son entree sur scene a ete une des plus acclamee. Il etait bien dechaine quand meme mais malheureusement il n’a joué que 2 titres. Dommage. J’etais de retour dans l’ambiance rennaise du 18 mars. « Vous êtes beaux » nous a-t-il lancé en quittant la scene.
Après un peu de bordel de nouveau l’ambiance se calme avec Rodolphe Burger et Djyz. Une blague fuse « Djyz Burger ». Pardon aux familles tout ca. Au debut Djyz qui est un espece de rappeur comence à envoyer un flow puis rodolphe arrive avec son look de vieux rocker sur le retour et entame par une reprise des Petits Papiers de Régine, sur un texte de Gainsbourg. Tres personnel comme reprise. Il est ensuite rejoint par un saxophoniste et on part dans un delire acid jazz. Ca a un peu cassé l’ambiance ils etaient un peu tous dans leur trip. C’est dommage.
Apres leur sortie un mec tout sec arrive avec sa gratte, Mano Solo. Quelques fans hysteriques hurlent à coté de moi. Je connaissais juste ce qu’il faut. Il a toujours une fois aussi interessante. Et j’ai bien prete l’oreille a ses textes. C’est du bon. Du tres bon. Sur son dernier titre le chanteur et accordeonniste des Tetes Raides le rejoint et c’est de bonne augure. En effet Les Tetes Raides sont les suivants sur la liste. A partir de la j’oublie ou je suis . Un enorme pogo comence des les premieres notes. Et quand ils jouent L’Identite ca repart encore plus fort.
Cette fois-ci l’ambiance ne retombera pas. Des marseillais, Oaïstar, entrent en piste. Ils font du rock n’ roll marseillais. J’ai eu un peu peur au debut parce que la guitare sonnait tres metal et ca me plaisait moyen. Mais ils sont revenus a un style plus Massilila Sound System, plus reggae quoi. Tout le monde bougeait. Ca me rappelait plein de choses. Ah mon Sud…
Pour clore ce gros bordel qu’etait en train de devenir ce concert ils nous font venir Louise Attaque. Je ne sais plus quel est le titre qu’ils on joue en premier mais le second de nouveau tout le monde s’est mis a sauter partout en chantant « allez viens je t’emmene au vent ». Ah, ma jeunesse. Souvenirs de college et de lycee plein la tete. Ca saute ca pogote c’est terrible.
Puis le dernier titre est annonce. Mais surtout un tres bon duo. En effet sur les affiches il y a vait Dyonisos mais on ne les avait pas vu encore. Qu’a cela ne tienne pour finir en beaute on a droit a un duo Louisse Attaque/Dyonisos. J’entends quelques notes de guitare. Non c’est pa spossible. Le guitariste s’echauffe. Oui oui , c’est surment ca.
Les deux violonistes commencent donc a gratter leurs cordes. Puis les deux leaders chantent. En anglais. Tout le monde se regarde. C’est quoi ce titre. Je me rends compte que non c’est pas impossible c’est con ont en train de fair eune version de Song 2 de Blur. Ca part doucmeen tau debut et d’un coup « Whouhou » et ca ne redescend pas pendant les 10 minutes suivantes. On repart en pogo enorme ca se bouscule sur toute la place. « yeah yeah ».
Et hop nous y voilà.
Il est 19h30. et c’est bel et bien fini.
Un dernier discours pour clore tout ca mais deja les gens quittent la place et retourne vers le metro.
J’ai mal aux genoux. J’ai mal au dos. Mais putain que c’etait bon. Le soleil etait au rendez vous les humains aussi.
Merci.

[Lum]

Copie intéressante, mais vous me reverrez la présentation

[Isidore]

j'ai vu qu'il y avait des fautes qui etaient passees a travers le correcteur de word...

[hunting android]

Didier super pour les imprévus.

Bah c'était vraiment marrant et j'ai passé une bonne soirée.
 

Une petite blague de Didier =
"Le comble de l'avarice c'est d'aller en thaillande avec ses propres enfants"

[hunting android]

Mogwai c'était juste splendide
un son énorme et une set liste bien bandante.(manquait juste my father my king et Mogwai fear satan )
mais c'était un chouilla trop court.(1h30)

[Isidore]

je viens de matter les prix pour rock en seine...
je comptais rendre 4 places histoire de...
j'en prend meme pas une... merde 70 euros pour deux jours...fait chier quand meme...

[giom]

Bonjour,

Je poste une petite annonce pour un concert que j'organise pour Amnesty jeudi prochain, is vous êtes dans le coin, n'hésitez pas, c'est gratuit et pour la bonne cause...

Trois groupes joueront pour la promotion de la campagne « Control Arms » d’Amnesty International le 20 avril à l’Abracadabar (Paris, 123 avenue Jean Jaurès, 19e).

Cette campagne cherche à faire pression sur les autorités internationales pour qu’elles cherchent à installer des moyens de contrôle du marché des ventes d’armes, totalement libre et qui chaque jour cause la mort de centaines de personnes dont beaucoup pourraient être évitées si ce commerce était plus contrôlé (www.controlarms).

Les trois groupes sont tous du label lillois indépendant Ohayo Records.

La soirée commencera à 20 h 30 avec Ben O’Folk proposant une musique faite avec des jouets et autres sonorités electro, qu’il diffusera sur un film intitulé Nina Au loin, traitant de la thématique des droits de l’homme. Ben O’Folk a déjà entre autre assuré la première partie de concerts du groupe canadien Godspeed You ! Black Emperor.

Cette performance sera suivie par celle de Leo88man, artiste folk proche musicalement de Neil Young ou de la scène antifolk new-yorkaise actuelle. Leo88man est également connu pour être le pianiste de Red.

Pour finir le groupe Yeepee de Toulouse viendra nous livrer son folk au programme politique dès plus romantique. On a déjà pu voir le groupe aux côtés d’autres artistes de la scène française comme Matt Elliot ou Thee Stranded Horse (le projet solo du leader de Encre).

Voilà, toute cette musique pour la bonne cause et pour soutenir une campagne qui touche à sa fin et qui cherche à obtenir un million de photos pour les mettre sur un site web créé à cette occasion par Amnesty et ainsi les présenter fin juin à la conférence des Nations Unies de New York sur les armes afin de faire pression pour qu’un traité international pour une régulation du marché des ventes d’armes soit enfin à l’ordre du jour !!!

Venez nombreux donc à L’Abracadabar ce jeudi 20 avril ! Surtout que l’entrée est gratuite !  :)

Liens : http://ohayorecords.free.fr/avril2006.html
   http://amnesty.lbn.fr/rubrique.php3?id_rubrique=12
   http://www.controlarms.org/

[Nicolaaas)*]

Cool, j'ai mes places pour Rock en Seine et pour ASMZ à Reims (12€ !). Et je vais sûrement aller voir Amon Tobin... La vie est belle, enfin presque.