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Revoir TITANIC 15 ans après, ça donne quoi ? Bah ça me bouleverse toujours autant et je me rends compte qu'en spectacle à gros budget ça n'a toujours pas été égalé. C'est d'une puissance visuelle hallucinante. Je me dis qu'il faut tout de même être sacrément taré pour se lancer dans un tel film, un tel monument.Revoir TITANIC 15 arprès, ça donne quoi ? De nouvelles émotions liées au temps qui passe, c'est se revoir à 20 ans dans une salle de cinéma à une époque ou l'amour fou dans la vraie vie semblait si pure et si réel. Revoir TITANIC 15 après, ça donne quoi ? La prise de conscience que les lourdeurs dans les dialogues passaient bcp mieux il y a 15 ans qu'aujourd'hui.Revoir TITANIC 15 après, ça donne quoi ? Des larmes assumées qu'il faut tout de même vite effacé quand la voix de Céline annonce le retour des lumières dans la salle obscur.
ah oui ça m'aurait bien tenté de le revoir !je me revois encore dans la salle du Normandie, (à babord !) comme si c'étais hier !
UGC NORMANDIE sur les Champs ?
j'en ai plein le cul de devoir expliquer The Tree of Life aux gens. Surtout quand ils ont décidé qu'ils n'avaient pas envie de comprendre. "t'façons c'est pour les intelloooooooos"fusée. années-lumière. planète déserte. vite.
Ben "The Avengers", pas terrible terrible.Une lutte d'égo (prévisible) pendant quasi tout le flim sans que ça ne décolle jamais vraiment.Et ça frise des niveaux d'improbabilité extrêmes.
Non mais pour la 3D, c'est un échec technologique sérieux La seule fois fois où on m'a dit que la 3D apportait vraiment un vrai plus, c'était sur le film de Wenders sur Pina Bausch (que je n'ai pas vu malheureusement)Mais autrement, c'est une catastrophe, l'image est assombrie et surtout il est quasi impossible de percevoir correctement les objets en déplacement rapide.Pour les bande annonces récentes, je suis très intrigué par le dernier cronenberg : Cosmopolis (en espérant ne pas voir un Pattinson fadasse ce qui pourrait relever du miracle) et aussi Moonrise Kingdom de Wes Anderson qui fera l'ouverture de cannes.
Oslo, 31 août de Joachim Trier. Une immense claque.